Peintures d’une femme sauvage

Clarissa Pinkola Estes
Dans le souffle d’une conteuse, certains mots m’emportent plus loin. 
Plus loin que moi-même je ne saurai m’emmener. Dans une course avec les loups. Dans l’image d’une sorcière indienne, chantant sous la lune.

Parfois je vis à fond l’archétype de la femme sauvage tel que le raconte si brillamment l’éblouissante Clarissa Pinkola Estes. Je le vis à travers mes peintures, comme par exemple, la chamane ou l’aigle.

Et parfois, oui, je rencontre un loup qui noie son regard dans le mien. Rencontre surprenante, bouleversante. Jamais indifférente.
 

 » Pourtant, si éloignés que nous soyons de la Femme Sauvage, notre nature instinctuelle, nous sentons sa présence. Nous la rencontrons dans nos rêves, dans notre psyché. Nous entendons son appel. C’est à nous d’y répondre, de retourner vers elle dont nous avons, au fond de nous-même, tant envie et tant besoin. »

« La femme qui récupère sa nature sauvage est comme les loups. Elle court, danse, hurle avec eux. Elle est débordante de vitalité, de créativité, bien dans son corps, vibrante d’âme, donneuse de vie. Il ne tient qu’à nous d’être cette femme là. »

 

 

Femmes qui courent avec les loups.