Le retour de la Mandorle

 

La porte de la Vierge à Rosheim.

 

VIDEO : comment se forme le sentiment de sécurité intérieure dans le domaine énergétique de la mandorle ?

Etape 1 ) Le chakra racine active le chakra souterrain = ancrage (blessure abandon)

Etape 2) Le chakra coeur

Etape 3) Le chakra couronne active le chakra magenta, portail stellaire = reliance (blessure rejet)

 

 

La Mandorle = véhicule d’évolution ? Par l’âme = repère et maison.

Une amygdale mal formée à l’âge adulte provoque notamment :

  • un sentiment de ne pas appartenir à ce monde ;

 

 

 

Mandorle et amygdale : sécurité intérieure

 

 

Un trauma n’est pas toujours un évènement dramatique que l’on peut clairement identifier.

Souvent, c’est l’absence régulière de ce dont nous avons besoin : sécurité, amour, confort, ou juste être vu et entendu.

Guérir n’est pas trouver la personne qui nous sauvera en nous apportant enfin la sécurité et l’attention, l’amour et nous dire que nous sommes enfin assez….

C’est ne plus nous abandonner.

Apprendre comment être une personne avec laquelle nous nous sentons en sécurité. Et se parler avec compassion et non plus des blâmes et des critiques.

Ce n’est pas être enfin choisi par quelqu’un.

C’est se choisir. Encore et encore.

Et se reconnecter à son soi. Celui d’avant ces traumas.

Se montrer à soi et oser s’exprimer depuis son authenticité.

Pour vivre ancré et s’aimer.

Pour pouvoir vivre des relations émotionnelles avec des connexions intimes véritables.

 

 

La blessure d’abandon est liées à celle du coeur. Elles ne peuvent se guérir indépendamment, sans guérir l’autre aussi.

C’est un tandem formant la mandorle, le véhicule complet de sécurité intérieure dont les 2 perdants sont la sécurité physique (un toit, au chaud, nourri, stabilité) et la sécurité affective (reconnaissance de l’âme, de sa créativité, de son essence : ce qui fait ce que l’on est = notre état sauvage).

Ainsi même après l’atelier d’abandon, nous n’atteignons pas une résolution à 100% car nous avons aussi besoin de soigner la blessure du chemin vert, c’est à dire la totalité de la mandorle et du système amygdale. Voilà pourquoi la mandorle venait en fin d’abandon : pour nous prévenir que ce n’était qu’un composant sur les 2 !

 

 

Mandorle et fleur de vie : pour empreinte de dharma et la réalité (d’incarnation)

La mandorle a déjà été abordé dans atelier d’abandon.

——> Résumé rapide ici ?

On la retrouve dans les figures du Christ sur les cathédrales et les constructions sacrée. On la connait aussi sur le couvercle du puit de Glastonbury.

 


Étoile Terre, sous les pieds à 1m.

Étoile étoile, au-dessus de la tête.

Quand les 2 se connectent —–> la Mandorle se forme.

La véritable aura peut se comprendre comme un point d’embarcation vers le développement de la sagesse en soi. Cette mémoire se trouve dans l’étoile d’incarnation dorée qui est un point lumineux de brillance infinie, comme un diamant, au centre de notre être.

Dans la toute première cellule qui fut nous, existent 3 points de lumière : la lignée génétique de la mère, celle du père et la conscience de ce que nous étions avant d’entrer dans cette incarnation.

Gouvernée par notre karma et notre dharma, notre conscience a été attirée par la situation de cette expérience d’incarnation avec de cette combinaison précise des lignées génétiques.

Plus nous entrons en contact avec notre étoile d’incarnation, plus nous sommes capable de ressentir la présence du Maitre de sagesse intérieure.

Si nous ne sommes pas centré en elle, la vie nous offrira des expériences pour nous apprendre de l’extérieur.

Mais si nous sommes centré avec notre étoile d’incarnation, alors nos enseignements proviennent du Maitre de sagesse intérieure.

L’étoile d’incarnation apparait comme une conséquence de la traversé du mandala de la conception, c’est à dire, la fleur de vie planétaire.

Cette forme sacrée est précurseur à notre entrée dans la toute première cellule et ce processus est le même pour tous les humains :

  • d’abord pas de forme ;
  • puis un être de lumière : la flamme or ?
  • un mix de couleurs des 2 lignées génétiques :  la flamme rouge et la flamme bleu ?
  • un être de chair.

Au moment du passage du portail étoile terre par la conscience du soi, une grande partie de notre mémoire karmique est effacée. Voilée.

Ce point de passage de la conscience reste cependant un point d’accès à nos sagesses karmiques et dharmiques pour cette vie-ci.

Quand nous nous connectons en conscience en notre étoile terre, non seulement nous avons donc le potentiel de télécharger les informations et énergies de tous les êtres que nous avons été, mais nous faisons aussi grandir notre étoile d’incarnation. C’est à dire que nous devenons de plus en plus conscients de notre physicalité et que nous acceptons d’avantage notre héritage génétique.

Nous apportons plus de lumière à notre corps : le blanc de la conscience se mélange au rouge de l’ancrage ce qui donne le rose. Et le rose se met alors à monter du rouge.

 

L’étoile terre est située sous notre racine.

Elle est en lien avec notre destiné sur cette planète pour cette incarnation et qui contient des informations préprogrammées sur où nous allons nous incarné, quels lieux nous allons visiter et habiter.

Notre évolution est profondément liée à celle de la Terre. La reconnaissance de notre relation avec la Terre, notre croissance partagée et maintenance réciproque sont fondamentaux pour être ancré et travailler sur soi.

C’est ainsi que l’on se sent être à la bonne place, au bon moment, en harmonie et synchronicités avec notre destinée.

 

L’étoile d’âme magenta, se situe au-dessus de notre tête et contient tout le potentiel que nous pouvons être. C’est nos vies passées sur Terre mais aussi dans d’autres contrés stellaires. Elle contient nos annales akashiques, qui contiennent les accords passées avec nos guides.

 

Individuation :

  • l’énergie rose de l’étoile terre vient toucher l’étoile d’incarnation dorée
  • réponse réciproque de l’étoile d’âme magenta vers le coeur spirituel ananda-khanda, turquoise
  • les 2 flux se dirigent ensuite vers le coeur central
  • l’énergie du coeur centrale s’éveille dans le vert = l’énergie de service : l’énergie des plans de Soi pour la planète s’unit à l’énergie des plans de Soi pour le Soi.

S’ancrer = ancrer la lumière dans le corps et être pleinement présent à la nature —>

Se dissocier —> avoir des difficultés à se relier à notre étoile terre = résistances à l’incarnation et à être tout ce qu’on pourrait être ici —> se connecte plus à l’étoile d’âme.

 

Étoile Terre (ES), sous les pieds à 1m.

Étoile étoile (SS), au-dessus de la tête.

Quand les 2 se connectent par une colonne de lumière —–> la Mandorle se forme : son point le plus bas est celui de l’étoile terre et le plus haut celui de l’étoile étoile.

De là, la colonne monte et descend encore plus loin : au centre de la Terre (GG = archétype mère) qui est le portail Terre et au centre de la Source (SG = archétype père) qui est la porte des étoiles.

Entre eux aussi se forme un mandorle, comme en écho avec la première (l’une personnelle et l’autre collective ?)

 

SS = contient nos annales akashiques personnelles et le gardien de nos choix d’âme dans cette vie. S’active d’abord par l’alignement du coeur. Puis par le chakra couronne. De là, active SS.

C’est pour cela que la route du coeur intervient entre les routes rouges de l’étoile terre et la violette du chakra couronne.

ES = contient l’empreinte et l’histoire de cette incarnation physique. La présence et le but, rien de superficiel. Tout est connu dans la fréquence du coeur (= le coeur dirige l’activation de la Mandorle). La connexion avec la Terre (entendre sa chanson et sa mémoire dans les pierres = active notre capacité à activer et jouer sur les lieux sacrés.)

C’est la moitié de la maison et de la sécurité intérieure (physique).

Elle nous appelle dans les lieux où nous ancrer et nous sentir à la maison. Là où les courants nous appelle. Les endroits familiers.

ES communique avec les chakras racine et sacré.

Notre connnexion dans l’incorporation de la grille cristalline (sentiment de se recharger par la grille et le pays)

La sensation de se sentir à la maison pour l’âme. Une reconnaissance des endroits. Leur sacralité. L’appel de la terre.

 

 

 


 

Quand on est enfant, très tôt dans l’enfance, on va rejeter notre incarnation quand on va apercevoir une souffrance trop importance. On rejette la douleur, ce sui est naturel à cet âge et avec elle, son incarnation, sa vie.

Cette vie qui est déjà souffrance car la douleur de vivre avec des parents qui génèrent ces émotions là, c’est trop pour l’enfant qui qui dit non. Non à la vie.

Avec ce rejet de l’incarnation vient de façon logique, celui de la matière et donc celui de son corps.

Car c’est par les sensations du corps que s’exprime la souffrance. En rejetant le corps, c’est à dire, en refusant de s’y connecter pleinement, il y a une mise à distance de la douleur qui s’opère.

Or, le rejet d’un bout de l’expérience d’incarnation entraine le rejet de la totalité.

Toujours au niveau inconscient… mais finalement, que pense l’enfant au moment où il découvre que ses protecteurs et ceux pour auxquels ils s’est lié de façon animal par l’odeur, sont ceux qui lui font du mal. Ceux qui nient ses impulsions de vie. Ceux qui heurtent son innocence. Ceux qui le font taire et qui supprime ses élans de vie. Qui le veulent calme, silencieux, civilisé et sans changement.

Ne se dit-il pas : « et merde ! » ???

« Bon, on va faire passer le temps dans cette vie comme on peut. » ?

S’enfermer dans son mental, vivant et déjà mort symboliquement quand il répond aux conditions et fait la fierté de ses parents.

Cela passe justement par cette mise à distance : on fixe notre attention sur d’autres choses que le corps et la matière comme la télé, la musique, les livres, les jeux… tout ce qui n’est pas naturel mais construit par l’humain pour faire passer le temps.

Pour faire passer le temps de cette incarnation le plus vite possible.

Se coupant du naturel, on se coupe de ses énergies et des ses sensations. Le corps devient malade, alors qu’il est ballotté entre négligence, non respect de ses besoins et abus. Nous devenons les abuseras de notre corps.

On ne va plus dehors regarder les fleurs et les nuages car cela nous ancre trop et nous rapproche de la douleur.

De la même façon, nous mettons les autres à distance ou alors, nous nous noyons dans une sociabilité artificielle et de surface entre égo qui se mesurent et veulent prendre le pouvoir.

Les relations ne sont pas nourrissantes.

Alors oui, le joyau de la blessure du coeur passe par le re-connexion au réel, par l’ancrage qui nous a été apporté par le chemin rouge et la guérison de l’abandon car c’est une guérison qui doit se faire sur les 2 parts qui constituent la mandorle.

La phase droite et la phase gauche.

La guérison de la blessure du père d’un côté. Celle de la blessure de la Mère de l’autre. Et en bonus, la guérison de l’amour de cette dernière amène l’union de ces deux parents désormais soignées en partie.

S’ancrer et contempler pour faire surgir l’amour. Pour relier coeur et ancrage.

Morgane le fey le dit bien justement : d’arrêter la distraction de l’artificiel et d’acception l’incarnation en acceptant les douleurs comme les plaisir. En acceptant toute l’expérience.

Elle nous conseille de retourner dans la nature. De vivre le corps. D’être présent. Ancré.

De danser entre les pierres.

De retourner sur la terre ferme.

IL ne s’agit pas de dénigrer notre sentiment d’insécurité qui a été l’impulsion au rejet d’incarnation.

Non. Nous avons le reconnaitre mais ensuite, l’accepter. Pardonner. C’est l’enseignement de Quann Yin.

Elle reconnait avec nous à quel point c’était dur et combien aujourd’hui c’est encore si difficile d’évoluer avec ce sentiment d’insécurité.

Nous avons trouvé refuge dans l’articifiel. Mais aujourd’hui c’est la prison de notre coeur. Ce n’était qu’une solution temporaire.

Il est temps d’ouvrir la cage et la boite de Pandore, de retourner à l’instant présent et de communier avec l’herbe, les fleurs et les oiseaux.

Nous n’avons pas besoin de nous inquiéter à penser à guérir ceci ou cela arrivé là où nous sen sommes.

Juste de commencer notre retour à la matière désormais. De dire oui à l’incarnation, une fleur à la fois.

Il est temps de s’en fiche de tout réparer ou non. De retrouver la sécurité, la confiance et la sécurité… juste de stopper.

De revenir au corps et à la nature. Et c’est tout.

Car c’est retourner à la Mère avec un M majuscule.

Celle qui nous aime de manière inconditionnelle et qui se trouve là, dehors.

Celle qui nous inspirera à incarner dans notre vie cette Mère là à notre tour.

Car nos mères ne nous ont pas éduqué à l’amour : elles nous ont appris à tolérer et endurer les abus, mais la matière a la clef de la transformation. Cette matière que l’on a rejeté, mais qui de façon ironique, nous montre comment prendre soin de nos enfants et de nos enfants intérieurs : en respectant leur essence et leur vitalité.

Récupérons l’ancrage en même temps que l’amour inconditionnel et nous transformerons la mandorle pour retrouver l’empreinte de notre dharma et celui de la terre : la fleur de vie qui sera recomposé pour tous.

 

 

Mandorle et la maison intérieure : pour la sécurité intérieure

Le self peut être vu comme dans l’union de l’essence trinitaire : le père intérieur guérir, la mère intérieure guérit et l’enfant intérieur guérit.

Le sefl c’est la Mandorle parfait et non abîmée qui donne sa juste place à l’individu. Le 1 dans le cocon formé du 2. Des 2 sécurités physiques et affectives.

Ce sont ces 2 sécurités qui vont créer ou non le traumatisme et la blessure d’âme.

Car quand quelqu’un fait l’expérience d’un manque de sécurité physique et d’impuissance, il va rechercher la sécurité affective pour tenter de rétablir sa place.

Il passe d’établir un lien avec l’archétype de père puis avec la mère. Et vice versant.

C’est en faisant l’expérience de l’absence des 2 à la fois que se crée le traumatisme.

Car l’âme fait l’expérience de l’absence de la mandorle.

Ici la Mandorle devient le symbole de le Maison. Sans Maison, l’âme est perdue et se déconnecte de l’expérience. C’est ce qui la blesse.

Quand la base est vide et que le coeur est fermé, l’âme incarnée se sent perdue.

 

 

 

 

Mandorle et sceau de Salomon : pour l’union et la sexualité sacrée

Nous avons vu dans le chapitre dédié à l’enseignement de Morgane sur l’odeur, que l’essence de vie se libère lorsque nous cassons les barreaux de la prison du coeur.

Certains y voit la libération sexuelle aussi.

Car la boîte de Pandore peut être interprétée comme ses cuisses, qu’elle ouvre … et qui crée le chaos.

De nombreuses légendes font craindre la sexualité aux femmes… sans parler de leurs propres traumatismes.

Et voici encore une chose qu’ont Marie Madeleine et Morgane le fey en commun : une libre sexualité.

Dans un couple, l’amour se joue dans le coeur mais aussi dans le corps. Ce sont les deux grands centres de l’union : le coeur et les organes sexuels.

Et nous allons voir un peu plus à quel point ils sont liés avec le symbole de la Mandorle.

 


 

Sceau de Salomon, c’est aussi l’étoile de David qui représente le Mariage Sacré, l’interpénétration équilibré du masculin et du féminin.

Les 6 pointes de l’étoile n’est rien d’autre finalement que la rencontre des 3 chakras du coeur du féminin et du masculin. Des di-amants intérieurs qui s’unissent comme les amants.

Un homme et une femme, dans l’amour, que nous parlions ici de biologie ou non.

L’amour fait se coller les 3 coeurs ensemble de chacun pour former, le temps d’une union physique, le 6, le sceau de Salomon.

C’est l’union sacrée dans sa plus pure définition.

La mise en intimité des 6 coeurs de 2 êtres.

 


 

 

Mandorle coeur sacré et croix : pour l’amour inconditionnel

Le self peut être vu comme dans l’union de l’essence trinitaire : le père intérieur guérir, la mère intérieure guérit et l’enfant intérieur guérit.

 


Tous les maitres ont reçu l’initiation du coeur sacré.

Cette initiation nous apprend à ouvrir le coeur pour prendre la douleur. La douleur de la Terre.

 


 

Comme j’ai eu l’occasion de l’évoquer déjà dans la partie des symptômes de la blessure, notre espace du coeur est en fait formé de 3 chakras coeur.

Ces 3 coeurs se situent sur une même ligne horizontale avec au centre le thymus.

Le thymus est aussi au centre de l’alignement des chakra de la racine à la couronne.

Ces 2 lignes forment une croix intérieure qui unit le céleste au terrestre dans un l’amour inconditionnel.

Le joyau nous aide à nous maintenir dans l’horizontalité de notre croix intérieure (la compassion) et dans la verticalité (alignement et enracinement).

Nous nous ancrons dans la douleur pour la recevoir dans le corps et la ressentir pleinement.

Puis nous la transcendons dans les espaces du coeur.

Avant de la faire monter dans notre conscience afin d’enregistrer cette nouvelle données expérientielle.

Quand à l’horizontalité, les coeurs physiques, karmiques et spirituels créent notre capacité de partager l’amour sur terre.

Nous sommes sur terre pour faire l’expérience de la verticalité et de l’horizontalité. Le chakra du coeur aura atteint sa pleine maturité lorsque la verticalité et l’horizontalité auront fusionnées, permettant à l’âme de vivre totalement son identité, ce que pourquoi elle est venue sur Terre.

 

 


Mandorle et triple feu du coeur : pour la transcendance

Le coeur est rempli de la flamme divine qui consume toute douleur qu’il rencontre afin de la transcender. Sa douleur personnelle d’abord puis celle du collectif.

La transcendance est une digestion automatique, une purification qui se fait dans le coeur lorsque celui a dépassé sa blessure émotionnelle et qu’il est capable de pardonner et de se détacher. Bref, quand il est dans l’amour inconditionnel.

La triple flamme du coeur christique

Le coeur physique = la flamme rouge/rose (traumas de cette incarnation en cohésion avec le coeur karmique)

Le coeur karmique = la flamme or/blanche (douleurs d’âme et de vies antérieures)

Le coeur spirituel = la flamme bleue turquoise (douleurs du collectif humain, paix, christ)

Pour s’ouvrir à la cohérence du coeur et à la conscience du coeur. Ensemble ils forment l’étoile coeur, radiant = le Soi supérieur vivant.

Rose = amour. Unir matière et spiritualité. L’amour en action.

Or = sagesse. La bénédiction des anciens. Le soi véritable. Sagesse n’est pas la connaissance. Sagesse intérieure.

Bleu = pouvoir. Humble mais pas faible. Puissance intérieure.

Flammes dans le chalice.

Équilibrer les 3 flammes = retour à Soi sacré = active JE SUIS = la voie du maitre intérieur.

 


Le diamant du coeur.

 

 


 

Collage : la maison

Matériel : des magazines de décoration de maison (ou pinterest !), de la colle

Fermez les yeux et imaginez la maison de vos rêves :

  • Comment vous sentez-vous à l’intérieure ?
  • À quoi ressemble-t-elle ?
  • De quoi avez-vous besoin dans la maison et juste à ses abords, pour vous sentir en sécurité et cosy ?

Maintenant, allez regarder des belles photos de maison dans les magasines dédiées ou sur internet.

Focalisez-vous sur les images qui vous rendent joyeuse. Pas simplement de belles photos mais de celles qui vous font vous sentir vous élever…

Déchirez ou imprimez ces images et collez-les.

S’entourer de beau est bon pour le cerveau, mais en plus, vous construisez ici une maison de rêve qui va devenir votre place de sécurité : un endroit capable de réguler vos peurs intérieures.

Vous êtes en train de guérir votre sanctuaire intérieur.

Quand vous allez vous coucher, regardez voter collage ou retrouvez-le dans vos pensées en fermant les yeux, bien au chaud sous votre couverture. Laissez votre imagination parcourir ce que ce serait de vivre dans un tel endroit.

Ce rituel conscient va directement influencer votre maison intérieure.

Alors que votre paysage mental s’améliore toujours plus, votre qualité de sommeil devient meilleur. Ainsi que votre humeur du lendemain.

 

Fermeture

Souvent, la guérison de ressemble pas à ce quoi on s’imagine.

C’est plutôt : malpropre, désordonné, compliqué, chaotique et malaisant.

Tout semble s’effondrer. Y compris soi-même.

Voici quelques signes de guérison que l’on néglige trop :

  • on pleure plus : ça vient parfois de nulle part, sans raison… les larmes et les sanglots. Pleurer permet au corps de relâcher son énergie nerveuse sympathique. C’est un processus corporel totalement naturel. La façon de notre système à gérer les émotions intenses. Dans une démarche de soins, pleurer est un signe de lâcher prise sur toutes les émotions réprimées.
  • des relations prennent fin : c’est ce qui nous rendra sans doute le plus confus. Comme si nous avions fait quelque chose de mal, menant les autres à quitter notre vie. Mais c’est en fait un signe positif d’évolution. Nous choisissons les gens avec qui nous passons du temps sur des critères désormais différents.
  • nous sommes en colère : la colère est la grande protectrice de la tristesse. C’est un signe que nous prenons soin de nous-mêmes et que nous nous protégeons. Beaucoup d’entre nous avons appris qu’être en colère n’était pas « bien ». Mais nous pouvons désapprendre en autorisant notre colère à nous traverser, sans chercher à l’arrêter de force. Un mantra pour cela pourrait être « j’accepte d’avoir le droit d’être en colère à ce propos ».
  • on a l’impression de ne pas faire assez : nous avons longtemps été conditionné à la productivité. Testés et reconnus pour nos accomplissements uniquement. Et dès qu’un succès prenait fin, nous étions lancé à la poursuite d’un autre. Une habitude dans laquelle nous voudrions faire coller la guérison : l’évaluer, la mesurer… mais la vérité, c’est que nous faisons plus qu’assez. Parfois, guérir signifie dormir 2h de plus. Ou s’allonger au soleil. Se relaxer. Guérir n’est pas une question de faire. Mais d’incorporer.

Souvenez-vous que tous ces signaux montrent que nous sommes sur le bon chemin.

Même si la sensation paraît opposée.

Même si notre mental nous dit que nous devrions faire plus, plus, plus…

Félicitez-vous pour la distance parcourue.

Et souvenez-vous : le voyage de guérison n’est pas forcément beau à regarder.