Sororité
Sororité
Les soeurs prennent la parole pour le mois de mars !
Note de 2020 : Désormais, je vous invite à aller plus loin dans l’intégration des sagesses de chaque mois, en écrivant votre résumé personnel. Prenez le temps de récapituler vos moments de lucidité, de trouvailles, … mais aussi vos ressentis. Compilez chaque mois cette expérience sous forme écrite. Cela peut-être un texte explicatif ou une poésie, pourquoi pas.
Je vous encourage en premier lieu de faire cette intégration pour vous. Si vous le désirez, vous pouvez ensuite me transmettre votre texte, ou seulement une partie, ou votre Haikus, ou vos photographies, peintures, collages… je les mettrai ensuite sur une page consacrée au travail des soeurs, uniquement consultable dans l’atelier du mois. Qu’en pensez-vous ?
N’hésitez pas à m’envoyer vos pensées n’importe quand, même bien après la fin de ce mois.
L’échange est une part importante du travail que nous faisons. En partageant nos mots, nous pouvons peut-être aider d’autres soeurs… n’hésitez pas, bien entendu, à partager de votre côté propre, que ce soit avec votre cercle de femmes ou sur votre IG.
Alors ? De quoi avez-vous l’expérience ce mois-ci ?
Je vous embrasse !
(cette page sera mise à jour au fur et à mesure de vos ajouts)
Fanny 2020 :
J’ai souhaité revenir sur la peinture intuitive du dernier chapitre pour mon témoignage. Comme d’habitude, en processus intuitif, il s’agit de « se lâcher la grappe » et de se laisser aller dans les bras des muses. J’ai commencé cette peinture avec une seule intention : créer pour cet atelier de mars. Et je me suis laissée aller… laissée aller à utiliser des couleurs douces que je n’utilisent pas d’habitude (ou en tout cas, jamais toutes ensemble, toujours avec des autres plus contrastantes !)
Cette peinture m’a emmené dans une zone de calme et de zen. J’ai pensé alors que c’était ce dont j’avais besoin avant tout, avant même de créer pour l’atelier.
Et puis, en relisant les caractéristiques de la Mère de Mars, je vois qu’elle est aussi la gardienne de la douceur… c’est même le tout premier qui est dit sur elle dans le poème de Jamie Sams :
Protectrice du doux,
Elle pèse la vérité pour que tout puissent y voir
La Loi Divine, et elle recherche l’harmonie
Qui va rendre libre l’esprit.
J’interprète un peu mes peintures intuitives comme des rêves (en même temps, le processus ressemble un peu à une plongée dans une transe créative, dans une concentration absolue qui nous emmène dans les profondeurs de notre inconscient). Je comprends alors que cette peinture m’invite à savourer un autre visage de la Mère de clan du mois de Mars, celui de la douceur et de l’harmonie que l’on trouve dans la pratique de la marche dans la vérité.
On s’y recentre.
On retrouve sa liberté et sa légèreté.
C’est vrai que je n’avais pas exploité ce thème, me tournant tout à fait vers l’image solaire du pouvoir personnel qu’on nous demande maintenant de réclamer (de reprendre toutes nos responsabilités de choix, d’action, de paroles…) mais en tant que femme, cette puissance n’est pas une force dure qui frappe et qui peut faire mal. C’est une force de douceur et de légèreté, comme une brise qui fait plier les roseaux. L’action douce peut produire le même effet que n’importe quelle action brutale…
Cela demandera un peu plus de temps pour que le monde s’allège. Beaucoup plus de temps même qu’une Révolution violente. Mais l’efficacité sera décuplée.
A ce sujet, je suis en train de créer un nouveau programme (absolument gratuit !) pour nous aider à activer notre feu du coeur. J’y vois un lien évident avec la peinture du mois de mars : la force par la douceur.
Les soeurs prennent la parole pour le mois de mars !
Note de 2020 : Désormais, je vous invite à aller plus loin dans l’intégration des sagesses de chaque mois, en écrivant votre résumé personnel. Prenez le temps de récapituler vos moments de lucidité, de trouvailles, … mais aussi vos ressentis. Compilez chaque mois cette expérience sous forme écrite. Cela peut-être un texte explicatif ou une poésie, pourquoi pas.
Je vous encourage en premier lieu de faire cette intégration pour vous. Si vous le désirez, vous pouvez ensuite me transmettre votre texte, ou seulement une partie, ou votre Haikus, ou vos photographies, peintures, collages… je les mettrai ensuite sur une page consacrée au travail des soeurs, uniquement consultable dans l’atelier du mois. Qu’en pensez-vous ?
N’hésitez pas à m’envoyer vos pensées n’importe quand, même bien après la fin de ce mois.
L’échange est une part importante du travail que nous faisons. En partageant nos mots, nous pouvons peut-être aider d’autres soeurs… n’hésitez pas, bien entendu, à partager de votre côté propre, que ce soit avec votre cercle de femmes ou sur votre IG.
Alors ? De quoi avez-vous l’expérience ce mois-ci ?
Je vous embrasse !
(cette page sera mise à jour au fur et à mesure de vos ajouts)
Fanny 2020 :
J’ai souhaité revenir sur la peinture intuitive du dernier chapitre pour mon témoignage. Comme d’habitude, en processus intuitif, il s’agit de « se lâcher la grappe » et de se laisser aller dans les bras des muses. J’ai commencé cette peinture avec une seule intention : créer pour cet atelier de mars. Et je me suis laissée aller… laissée aller à utiliser des couleurs douces que je n’utilisent pas d’habitude (ou en tout cas, jamais toutes ensemble, toujours avec des autres plus contrastantes !)
Cette peinture m’a emmené dans une zone de calme et de zen. J’ai pensé alors que c’était ce dont j’avais besoin avant tout, avant même de créer pour l’atelier.
Et puis, en relisant les caractéristiques de la Mère de Mars, je vois qu’elle est aussi la gardienne de la douceur… c’est même le tout premier qui est dit sur elle dans le poème de Jamie Sams :
Protectrice du doux,
Elle pèse la vérité pour que tout puissent y voir
La Loi Divine, et elle recherche l’harmonie
Qui va rendre libre l’esprit.
J’interprète un peu mes peintures intuitives comme des rêves (en même temps, le processus ressemble un peu à une plongée dans une transe créative, dans une concentration absolue qui nous emmène dans les profondeurs de notre inconscient). Je comprends alors que cette peinture m’invite à savourer un autre visage de la Mère de clan du mois de Mars, celui de la douceur et de l’harmonie que l’on trouve dans la pratique de la marche dans la vérité.
On s’y recentre.
On retrouve sa liberté et sa légèreté.
C’est vrai que je n’avais pas exploité ce thème, me tournant tout à fait vers l’image solaire du pouvoir personnel qu’on nous demande maintenant de réclamer (de reprendre toutes nos responsabilités de choix, d’action, de paroles…) mais en tant que femme, cette puissance n’est pas une force dure qui frappe et qui peut faire mal. C’est une force de douceur et de légèreté, comme une brise qui fait plier les roseaux. L’action douce peut produire le même effet que n’importe quelle action brutale…
Cela demandera un peu plus de temps pour que le monde s’allège. Beaucoup plus de temps même qu’une Révolution violente. Mais l’efficacité sera décuplée.
A ce sujet, je suis en train de créer un nouveau programme (absolument gratuit !) pour nous aider à activer notre feu du coeur. J’y vois un lien évident avec la peinture du mois de mars : la force par la douceur.
Fanny 2025 :
Pendant longtemps, j’ai eu des difficultés à aller vers la Mère de Mars, car je trouvais tellement injuste de punir la victime aussi bien que le persécuteur…
Cela me touchait, car j’ai longtemps été une victime sans l’accepter ou l’admettre (car la victimisation m’horripilait).
La Gardienne de la Justice a pris le temps de me faire comprendre que la victime « attire » inconsciemment son persécuteur (en laissant notamment des failles énergétiques dans ses auras). J’étais en colère contre ses informations, car c’était accepter d’avoir joué un rôle dans les abus et aggressions que j’avais vécus.
Avant de comprendre que ma responsabilité, avait été de ne pas avoir guérit mes failles et mes blessures de coeur. Avant de voir que ce n’était pas une punition mais une guérison qui lui était offerte (pour que je jamais plus, elle ne l’attire à nouveau).
Pour 2025, le message collectif revient sur l’importance de guérir ses blessures d’âme. On peut les appeler aussi blessures émotionnelles, blessures du coeur, coeur sacré, Enfant Intérieur blessé, …
Ce cycle nous rappelle que la Sagesse s’acquiert avec les expériences et donc avec le temps. Mais que Sagesse n’est pas somme des connaissances. C’est la connaissance intégrée et l’action juste.
Ainsi, Mars insiste sur la différence entre la réactivité (réflexe de comportement héritée de notre empreinte d’enfance) et la réponse juste.
C’est là que se trouve notre responsabilité. Dans notre détermination à :
- répondre plutôt que réagir
- ancrer notre étincelle divine
- regarder souvent en soi
- partager les sagesses que nous intégrons oralement
- guérir notre coeur blessé
Pour réussir, cela passe par notre force intérieur et notre volonté.
Nous ne le faisons pas pour plaire. Ni parce que c’est à la mode. Nous le faisons pour nous.
En effet, pour triompher des distractions, des réactivités, des croyances et des histoires d’égo… il nous faut une volonté et un engagement incroyable !
La Voie du coeur n’est pas la plus simple.
Elle nécessite d’aller à la rencontre de nos douleurs et inconforts, pour les ressentir.
Alors, la Gardienne de la Justice nous demande comment nous utilisons notre volonté ?
Nous devons utiliser la force de tout notre mental pour réussir à oser regarder nos blessures (la distraction de Netflix ou des réseaux sociaux pour endormir notre inconfort est souvent trop grande) et à tenir face à la tentation de la réactivité pour blâmer l’autre.
L’amour inconditionnel se trouve là. Dans notre prise de responsabilité et notre détermination.
Surtout, ne sous-estimons jamais la guérison que notre coeur peut avoir sur la Terre.
Prendre soin de ses blessures touche nos relations, donc l’humanité et donc au final la Terre Elle-même, tout comme nos activités de tri, de dé-consommation, … à condition qu’ils soient tous faits dans l’amour et l’humilité !!!!
Voici ce qu’est réellement, notre responsabilité.