Guérison yonique

Guérison Yonique oui oui oui ! Avec Yonique pour Yoni.

Yoni ? C’est le nom que l’on donne à toute la partie de notre corps qui contient nos organes sexuels, génitaux mais aussi tout l’espace autour comme notre bassin.

Yoni ! C’est encore plus que cela ! C’est aussi toutes ses dimensions créatrices… toutes ses blessures.

Car Yoni vient du sanskrit qui signifie « portail sacré« .

 

 

Yoni portail

 

 

Je continue, pour la 6e année consécutive, à travailler avec la puissance des 13 Mères Originelles. La 6e Mère de clan détient la sagesse des histoires, c’est pourquoi je me suis sentie particulièrement attirée à partager un nouveau témoignage dans le blog parce qu’il contient de nombreuses synchronicités (les divins hasards qui nous rendent particulièrement émotifs). Ils seront introduits par un « synch. »  en début de ligne.

Témoigner de nos synchronicités permet d’assurer de nombreuses personnes de leur réalité physique. Nous ne sommes pas les seuls à vivre ce genre de petites magies de l’existence.

Ainsi, le YoniArtFest organisé par Laura Hollick, est arrivé à point nommé cette année !

Synch. Voici un point express sur l’arrière plan, sur le divin timing qui est entré en jeu ce mois-ci :

  • le mois de juin correspond à ma 3e formation sur l’alchimie de la rose (guérison des blessures)
  • mais aussi à la Mère de Clan de juin qui est la conteuse et la gardienne de la Magie de la Souffrance.
  • Tous les ingrédients étaient réunis et même plus encore ! Ma carte du mois de juin (tirée le 6 janvier) était le 3 d’épée, soit la souffrance.
  • Et ma carte de 6e cycle lunaire était « épine », encore une histoire triste de douleurs et de tortures.

Vous voyez où je veux en venir ? Juin promettait d’être… épineux ! Et il a bien tenu ses promesses.

 

 

La première blessure sur laquelle je me suis penchée dans ma formation sur les 5 blessures, est celle de trahison. C’est une des plus complexes à guérir, mais surtout, c’est celle qui est la plus présente en moi. En plongeant dans de nombreuses méditations, elle a fait ressurgir de nombreuses douleurs du passé, des anxiétés encore très présentes… et de nouvelles compréhensions.

La blessure de trahison se situe au niveau du plexus solaire. Dans le corps cela se traduit par des problèmes digestifs (notamment). Pour Lise Bourbeau, cette blessure modèle le corps des femmes avec des hanches fortes et des cuisses larges (ma silhouette à moi) et je comprends que cette blessure touche également le chakra sacré.

Là dessus, j’ai décidé de suspendre ma formation.

Je ne voulais pas encore explorer les autres blessures, sentant que j’avais encore à aller en profondeur dans celle-ci. Je me suis donc replonger des les ouvrages de Lise Bourbeau. Beaucoup de larmes ont coulé par ici. Des larmes salvatrices. Pendant longtemps, je ne me suis pas retrouvée dans les comportements décrits lorsque l’on a cette blessure. Lise Bourbeau l’écrivait, ce déni. Oui, je la voyais dans le corps, mais non, je ne la voyais pas en moi.

Le corps ne ment pas.

Cette fois, je la voyais partout. Vraiment partout !

 

 

Yoni dolorosa

 

 

Après 2 semaines de suspension, je me suis plongée dans la guérison de ma Yoni, avec les ingrédients que j’aime le plus et qui font partie intégrante de ma pratique personnelle et professionnelle :

  • des méditations et voyages chamaniques
  • des créations intuitives
  • des canalisations
  • des tirages de cartes

Après une première séance, j’ai pu mettre des mots sur toutes les souffrances et les blocages contenus dans ma Yoni, comme la peur de me faire violer (issu de ma lignée maternelle), une certaine empreinte de tristesse, de peur de violence face à une hyper sensibilité, et une crainte face à une énergie qui peut être si sauvage qu’elle en devient incontrôlable.

Mais j’y ai aussi découvert une ouverture réconfortante, des bras accueillants… c’était très émouvant.

Notre Yoni possède effectivement nos parties génitales, mais elle coopère avec cette dimension du divin féminin. Il était temps de retrouver ces racines véritables, de créer un espace pour que la guérison puisse avoir lieu.

 

 

Pour cela, j’ai plongé dans l’histoire énergétique de ma famille… et je suis aller aussi à la recherche de ce qui nourrit mes fondations.

Synch. Un mot s’est alors imposé alors que je plongeais dans mes fondations : confiance. Un ancien voyage chamanique me revint : dans la spirale des ancêtres, ces derniers clamaient « crois pour croître. » « crois pour croître. » « crois pour croître. » En boucle…

Croire pour évoluer.

Croire, c’était pour moi avoir la foi… et là, la clarté se faisait… le meilleur synonyme de croire n’était pas avoir la foi, mais faire confiance. « Oser être vulnérable » (d’ailleurs, celui-là était aussi une expression canalisée).

Synch. Confiance était le mot guérison de la blessure de trahison, dans ma formation.

Tout s’assemblait comme dans un puzzle. Bien entendu, il est facile de tout comprendre. Mais le vivre dans la chair, dans son art, dans ses méditations… l’expérimenter, nous offre une autre dimension de connaissance : la sagesse. J’incorporais la notion de confiance comme antidote à la trahison.

Synch. Je sortais la carte « focus on truth », se focaliser sur la Vérité, pour faire la différence entre ce qui est temporaire de ce qui est éternel. La pression sociale sur notre sexualité par exemple, n’est que temporaire. La confiance, la Vérité, les liens respectueux, eux… étaient éternels.

En donnant priorité au temporaire dans ma sexualité par exemple, je m’étais trahie moi-même ainsi que ma Yoni.

 

Une Yoni nourrie

 

Après la mise en clarté de l’existence de nos blessures dans notre Yoni, il était temps de la nourrir avec des expériences plus saines, des pensées plus belles.

Pour nourrir ma Yoni, une force chaleureuse, incroyablement lumineuse et rayonnante, d’un jaune pulsant, se présentait à moi. Elle illuminait toutes les hontes et culpabilités qui s’y étaient logées.

Synch. J’effectuais un tirage pour assembler de façon claire toutes ces données. Je recevais alors des cartes prodigieuses : la conscience solaire me permettait de comprendre que notre Moi supérieur pouvait rencontrer notre Yoni et lui offrir sa douce lumière jaune, comme dans ma vision de nourrissage ! ! !

Synch. Puis la carte dévotion spirituelle m’expliquait que la douleur amenait la dévotion ! La vie sait bien que l’humain est un peu fainéant… sans souffrance celui-ci n’irait pas à la rencontre de sa spiritualité de façon régulière !

Synch. C’est une information que j’avais déjà obtenu en décembre dernier, dans le « walking with Mary » où mon message principal était de comprendre la magie de la douleur (j’avais buggué sur l’expression d’ailleurs ! ! La douleur… magique ? Franchement ?)

Synch. C’était aussi en lien avec ce que j’avais fait ressortir du défi labyrinthe il y a quelques mois : je devais enfin admettre ma peur de la douleur.

Maintenant je comprends que l’incarnation est forcément une souffrance. Sans corps, la douleur n’existe pas ! Même les douleurs de coeur ont besoin de notre corps émotionnel pour être ressentis dans… le corps ! Corps = douleur !

Le fait de ne pas accepter la douleur revient à ne pas accepter son incarnation. De ne pas se sentir à la maison sur Terre.

 

 

 

 

Or, nous ne pouvons pas habiter notre corps si nous n’acceptons pas notre incarnation. Nous devons accepter l’existence de la douleur, l’existence de nos blessures… comme moteur d’évolution.

Habiter notre corps, c’est voir en lui, les douleurs, les blessures… notre divinité, notre conscience solaire !

C’est incorporer notre essence. 

Et c’était le sujet du 4e jour du YoniArtFest ! ! ! Ce chapitre contenait une magnifique méditation qui m’a permis d’unir Yoni et Moi supérieur, dans un Soleil irradiant.

Synch. La carte « empreinte divine » venait couronner ce travail en évoquant la mise dans le corps de notre Soi-Source (notre soi solaire). De nombreuses synchronicités ont donc porté ce travail… et je n’ai partagé ici que celles qui n’étaient pas les plus intimes !

 

Yoni souveraine

 

 

Au final, bien que ma blessure de trahison ne soit pas guérie (et elle ne le sera jamais vraiment, aucune des 5 blessures ne peuvent l’être, mais elles peuvent devenir plus confortables à vivre !!) le travail sur ma Yoni a été magnifiquement complémentaire !! J’ai pu expérimenter dans le corps la sagesse de la douleur, sagesse détenue aussi par la 6e Mère.

Nous avons à traverser ces expériences souffrantes pour arriver au trésor. Plonger dans la matière noire pour découvrir l’or.

L’or de la blessure de trahison est la confiance, la vulnérabilité.

 

En purifiant nos charges douloureuses, comme nos blessures, nous nettoyons en effet « notre puit. » Ce puit, ou ce pont (comme on veut l’imaginer) est un espace qui relie les dimensions matérielles et immatérielles. Tant que nous n’avons pas exploré et relâché ce qui nous fait mal, notre puit n’est rempli que de cauchemars (ou plus joliment dit : rêves destinés à guérir). Mais une fois clair et pur, notre puit se transforme en puit à voeux !

Un puit qui devient un espace sacré permettant à nos Visions de prendre corps.

 

Le puit. Notre espace contenant nos blessures à guérir.

 

 

Pour finir, et pour reprendre le message principal de ce partage, si vous souhaitez entamer une exploration des blessures, n’hésitez pas à aller plonger dans les souffrances contenues dans votre Yoni.

Je crois que cela est bien plus important qu’on ne le pense !

Synch. Il y a quelques années, lors d’une hypnose quantique, j’avais eu l’information que la femme « portait le monde« . Norte Yoni pourrait alors être le siège énergétique des fardeaux de l’humanité. Ce qui explique le nombre de maladies gynécologiques que vivent les femmes.

Synch. comme l’endométriose, dont j’ai enfin eu le diagnostic officiel ce mois-ci ! Une énième synchronie pourrait concerner le fait que le jaune, ce jaune si puissant qui pouvait nourrir et soulager ma Yoni… était la couleur officiel du mouvement des endo-girls.

 

 

Synch. quelques jours plus tard, je mettais en place un processus de purification de ma Yoni. Je sors une carte pour avoir une information quant au succès de ce procédé. C’est le puit des rêves qui est alors sorti (voir photo ci-dessus). Le puit des rêves est guérisseur, puisqu’il est un catalyseur de mémoires douloureuses à venir plonger pour les accepter enfin.

Une fois purifié, le puit des rêves se transforme en puit à voeux. Un puit à Vision.

C’est dans cet espace clair que se maintiennent les désirs de notre coeur avant leur matérialisation.

La purification de notre Yoni est donc extrêmement importante pour matérialiser un monde de demain lumineux et joyeux. Tant qu’il contient nos blessures, nous ne matérialisons que nos blessures (afin d’en guérir une bonne fois pour toute !) S’il faut les matérialiser 10, 100 ou 1000 fois, alors, ce sera fait.

Synch. comme je travaille main dans la main avec les 13 Mères Originelles, je souhaitais également laissé un petit mot à ce sujet ici. Ce n’est pas pour rien que ce défi créatif (et thérapeutique) a eu lieu au mois de juin ! !

La Conteuse est la Mère qui relie notre histoire à nos blessures douloureuses pour oser mieux les traverser et les accepter.

Et cette mémoire de notre histoire (voir même de nos histoires transgénérationnelles et mêmes de nos vies antérieures) est contenu dans…

oui, maintenant vous le savez parfaitement… elle est dans notre Yoni.

Tous les jours, une fois par jour, prenons simplement conscience d’elle et de tout ce qu’elle contient. Et permettons-lui de relâcher ce qui doit l’être en osant regarder TOUTES nos émotions en face.