Odeurs de Vénus

 

La Magie des parfums et de l’amour

Lorsque ma formation d’art thérapie m’a fait prendre le chemin de l’exploration de mes sens, j’ai réalisé le collage ci-dessous pour l’odorat.

J’ai ainsi pu découvrir à quel point ce sens était lié à notre féminité dans mon inconscient.

 

Les fleurs sont notamment en résonnance avec la sphère émotionnelle, comme on le sait depuis les découvertes du Dr Bach. 

Elles sont reliées à notre espace du coeur et permettent d’agir sur notre aura (et sur notre mandorle, comme nous allons le voir dans le prochain chapitre !)

De nombreuses grandes prêtresses comme Morgane ou Marie-Madeleine étaient passées maîtresses dans l’utilisation des herbes et des parfums. 

Elles nous invitent à utiliser notre odorat pour nous ancrer : « pour respirer les effluves de la réalité. »

À la maison, nous pouvons nous aider d’huiles essentielles : cèdre, vétivier, patchouli, par exemple, permettent d’ancrer notre système nerveux.

Découvrez pourquoi les parfums peuvent nous être utiles pour guérir notre blessure dans l’audio suivant :

AUDIO

 

Comme je vous le disais pour introduire cet audio, Marie Madeleine et Morgane le fey ont des caractéristiques très proches et parfois, leurs enseignements se confondent, ce qui est une bonne chose pour nous ! Parce qu’une vérité se repère justement parce qu’elle se retrouve à plusieurs endroits.

Marie Madeleine est nommée parfois le « Vase Christique » ce qui la fait partager ainsi le symbole de l’amphore qui contient les huiles d’onction et leur magie.

Elle est en effet une « myrrhophore », une femme porteuse de Myrrhe et dont le terme apparait dans l’évangile.

Imaginons un instant cette vue de l’antiquité : dans cette pauvreté, ces sols pauvres et sec, le vent balayant les poussières, les tissus rapiécés et durs au toucher… s’élèvent des porteuses d’amphores qui contiennent dans leur antres sombres, des odeurs pures et intenses de fleurs et d’encens. Quelle contraste !

Et quelle magie ! La fleur qui a une telle courte durée de vie voit son odeur conservée pour des années dans ces « boites de Pandore ».

Le vase d’onction est un objet magique comme dans la plus pure des traditions des contes.

Il est le conservateur de l’étincelle de vie.

De l’étincelle de vie.

De l’essence.

L’or dans le vase.

On retrouve le symbolisme de la jarre bien plus tôt encore, dans le culte de la Déesse Inanna qui possède les qualités de la Déesse Vénus, comme Ishtar, Cybèle, etc…

Ainsi, et avec bien d’autres preuves mais que je n’ai pas la possibilité d’explorer avec vous ici, parce que j’ai encore beaucoup à dire sur le sujet qui nous concerne, Marie Madeleine est supposée être une prêtresse de la lignée d’Inanna, justement. Des prêtresses rouges, habillées en rouge et on sait tous que Marie-Madeleine est représentée avec cette couleur bien spécifique. 

Marie Madeleine partage sa connaissance de myrrophire avec nous.

Elle nous révèle les actions qu’ont les parfums sur le corps.

J’ai aussi réalisé un atelier il y a quelques années maintenant, pour partager mes connaissances et techniques de création de symphonies odorantes.

S’il vous intéresse, je peux le rééditer pour l’occasion. Il se nomme : « intuitions aromatiques » et je le mettrai dans la série « en-quêtes ».

Dans le cadre de notre atelier de la blessure de l’enfant intérieur, je vois un autre symbole à la jarre de la myrrophore qui est : le coeur enfermé.

En nous coupant du réel, comme nous l’avons vu dans cette page, nous mettons notre étincelle de vie en cage nous aussi.

Comme dans une amphore, à l’ombre.

Elle n’est donc pas anéanti : elle est encore vivante !

Mais ouvrir la boîte est effrayant.

Pandore l’ayant ouverte, n’a-t-elle pas lancé maux, maladies et malédictions sur le monde ?

Voilà ce qu’on apprend. Qu’il est plus sûr et confortable pour nous de tout laisser enfermer dans notre amphore. De rester une fille bien sage.

Non, nous disent ces femmes dangereuses que sont les dernières prêtresses de Vénus, les myrrophores. Elles nous disent qu’ouvrir son coeur, s’est ouvrir la boite qui libère l’étincelle de vie, c’est à dire, l’enfant intérieur.

Les parfums et effluves pourraient-il ouvrir la cage du coeur dans laquelle est encore enfermée notre étincelle de vie. ?

Mais dans ce cas, quels parfums ? Quelles huiles sacrées pour réaliser ce miracle ?

C’est ici que Morgane le Fey intervient.

Nous avons vu que la magicienne s’est assombrie au fur et à mesure de la christianisation des versions des légendes du Roi Arthur : faisant de plus en plus rayonner le roi civilisateur et peser la païenne vivant dans la forêt avec les animaux sauvages.

C’est là que se trouve la clef de la cage du coeur !

Elle nous enseigne que pour ouvrir la boite de l’étincelle de vie, nous avons besoin de nous reconnecter au réel et à la nature. Au corps.

Nous avons appris que le salut était dans la science et la technologie. Que la lumière de l’esprit se trouvais dans l’artificiel. 

Quand nous regardons autour de nous, pouvons-nous voir à quel point tout est artificiel et fait par les humains ?

Même en forêt, les arbres sont planté en lignes droites. 

Nous vivons comme des fantômes parmi les fantômes, à ne plus faire attention à la forme d’un arbre, aux saisons, aux couleurs des nuages.

Pouvons-nous imaginer ce que signifie, à cette époque comme aujourd’hui d’ailleurs, ce que représente une telle suggestion vénusienne ? Alors que le corps et la sensualité étaient démonisés ? Et où aujourd’hui nous confondons sexualité et sensualité ?

Nous ne savons plus comment revenir au corps. Comment retrouver notre sensualité.

L’odorat est souvent un de nos sens les plus efficace pour cela.

Pour l’ancrage, la conscience du corps, le retour au réel.

Je les utilise aussi pour intégrer et activer le chemin du retour à soi.

Oui, les odeurs font tout cela…

Et les sciences l’ont démontré. Elles ont étudiées l’influence des odeurs, les fameuses phéromones, dans l’attachement… qu’il soit amoureux ou de l’ordre de celui entre une mère et son enfant.

L’enfant est attaché à l’odeur de sa maman depuis sa conception. Depuis la gestation. Et la mère, de son côté va créer son attachement lors de la première rencontre en peau à peau avec son nouveau né.

Lorsque l’on demande aux « nez » c’est à dire aux professionnels qui travaillent dans la création de parfums… ceux qui sont capable de retenir des centaines d’effluves, d’analyser les compositions des parfums et d’inventer de nouvelles symphonies odorantes, donc quand on leur demande quelles sont leurs odeurs préférées, ils répondent systématiquement, celles de leurs proches. 

Ne vous êtes vous jamais retournée dans la rue, en sentant la même effluve que celle que portait un ex amant ?

En un instant, non seulement la mémoire est ravivée mais aussi les émotions.

Et cela éveille aussi notre propre animalité.

Celle que l’on a appris à fuir comme on fuit le sauvage et l’incivilisé.

Pourquoi ? Parce que notre animalité est liée à nos émotions brutes. À la douleur et la souffrance. Ces inconforts que nous rejetons. 

Or l’animalité consciente n’a rien à voir l’animalité sans âme.

Et c’est cela l’enseignement de Morgan le Fey et de Merlin aussi. Lui qui quitte parfois Arthur pour aller vivre en forêt comme un sauvage pendant des mois voir des années.

C’est pour cette raison que Morgan le Fey a été aussi transformée en sorcière sombre alors qu’elle ne faisait que se reconnecter au réel, loin de l’artifice dénué d’âme.

Et aujourd’hui que l’IA intervient de plus en plus dans nos vies, nous ne pouvons que comprendre Morgane et Merlin. Ce besoin de se couper de l’artificiel pour renouer avec le réel.

Nous en avons encore plus besoin aujourd’hui qu’eux !

Morgan le Fey est aussi connue pour sa capacité de « ShapeShifter », c’est à dire, de changer de formes à volonté. Elle se transforme en particulier en oiseaux et notamment en corneille.

Elle a renoué avec sa part animale en elle.

Sentir les odeurs, les redécouvrir permet de se réconcilier avec sa part animale. À aimer notre part animale.

D’ailleurs, si nous retournons à cette 1ère rencontre Mère-Enfant, ne pouvons-nous nous empêcher de voir l »accouchement comme un moment parfaitement animal ? Un des seul que l’on peut vivre dans une vie dans toute son intensité et sa sauvagerie brute ? Une plongée dans la réalité. Dans notre animalité.

Avec les odeurs, les douleurs…

Un moment dans la vie des femmes qui peut être totalement rejetée par elles… peut-être justement parce qu’il nous rappelle que nous sommes des animaux.

Les corps communiquent par leurs odeurs, en particulier dans le monde des animaux qui sont en effet capables de sentir leurs proies à des kilomètres. Les chevaux sentent l’eau à 3km et ils sont aussi capables de connaitre nos émotions en fonction de notre odeur.

Car les émotions changent le statut hormonal de notre corps, ce qui influe sur son odeur. 

Les odeurs ont cette facultés à nous relier avec le primordial. L’animalité et les émotions. 

Aujourd’hui, tout est civilisé, même les odeurs. Nous attendons de nos collègues ou de notre voisin de bus qu’il se soit parfumé. Nous ne voulons pas sentir leur odeur corporel. Car cela crée immédiatement une intimité.

Parmi les 6 intimités, il s’agit des intimités émotionnelles et sexuelle surtout. Et l’on sait bien que le sexe conserve aussi, cette part animale.

Parce que nous rejetons nos émotions et en particuliers les plus négatives d’entre elles, nous mettons aussi les autres à distance.

Car ce sont les relations avec les humains qui font naitre le maximum de nos émotions. Les plus belles comme les plus difficiles. 

En rejetant les odeurs, nos rejetons les liens, l’amour et les émotions. Nous rejetons notre vulnérabilité.

Car si les yeux sont les fenêtres de l’âme, les odeurs aussi sont révélatrices de notre essence intérieure innocente et intouchée. 

Oui,  nos corps ne sont pas les seuls à posséder une odeur, notre essence aussi en possède une elle aussi. Une qui se mêle à celle de notre corps pour n’en faire qu’une.

Certains ont tellement fusionné corps et âme qu’ils rayonnent des odeurs extraordinaires, comme Thérèse de Lisieux, la sainte catholique qui répandaient naturellement des effluves de rose.

C’est d’ailleurs à l’odeur que l’Eglise reconnait ses saints. Ce qu’elle nomme « l’odeur de sainteté », mais qui se retrouve dans d’autres traditions, comme le bouddhisme et l’hindouisme. 

À leur mort, certains maitres ou saints sentent les fleurs même plusieurs jours après l’évènement.

À notre niveau à nous, nous savons qu’une personne change effectivement d’odeur au cours de sa vie… selon nos émotions et les hormones qui sont émises mais aussi en fonction de notre évolution. L’enfant change d’odeur à la puberté, et les femmes à la ménopause.

Mais nous pouvons nous aussi influencer, comme les saints, notre odeur.  

Morgane et Marie-Madeleine nous transmettent qu’il nous appartient de sentir bon mais pas par artifice ! Pas en nous baignant de parfums luxueux chez Sephora.

Nous avons la responsabilité d’exhaler la bienveillance et la gentillesse.

Nous avons la responsabilité de réparer la blessure de vulnérabilité pour laisser se répandre l’odeur de notre âme. 

Les myrrophores que sont Morgane et Marie Madeleine nous questionneront sur notre relation aux odeurs dans la suite de la page afin de prendre le temps d’y réfléchir.

Pour finir, elles me font encore revenir sur le lien entre le coeur, le sentiment d’amour et les odeurs mais aussi sur celui de la sécurité…

L’odeur de nos parents crée en effet notre attachement primordial c’est à dire la base de notre relation avec eux mais aussi de toute nos relations futures, comme nous l’avons vu.

D’un point de vue plus sensoriel, entrer dans les bras d’un parent et surtout d’une mère, nous inonde de son odeur qui nous rassure et qui nous console tout autant que le toucher.

C’est l’odeur de la sécurité. L’odeur de la maison retrouvée.

La sensation de sécurité passe par notre relation aux odeurs.

Nous avons donc aussi à explorer cette thématique, car nos parents nous ont peut-être privé de leur bras et ainsi de leur odeur. De leur sécurité. Et donc aussi de la sensation d’être à la maison. D’appartenance.

Ou juste parce que parfois, nous n’avons pas pu jouer dans notre enfance à explorer les odeurs.

Nous nous éloignons aujourd’hui des odeurs naturelles comme nous nous éloignons des émotions, parce que nous n’avons pas connu la sécurité de les vivre.

À eux deux, le touché et l’odeur, de la Mère surtout, représente la sécurité affective.

C’est la première réalité de l’enfant.

Sa première expérience d’intimité et de fusion avec l’autre.

Et sans cette intimité, alors, il n’y a pas de sentiment de sécurité. Pas de sentiment d’avoir une maison intérieure.

Et pas de capacité de trouver une intimité pleine et joyeuse dans de futurs relations amoureuses.

De même, notre corps garde en mémoire l’odeur de ceux qui nous ont abusé et nous en dégoutent. 

Et puisque le corps émet l’odeur de l’essence, si l’odeur de quelqu’un nous dégoute, cela doit être examiné attentivement.

Après tout, ne dit-on pas de quelqu’un que nous ne « pouvons pas le sentir » ?

Pour finir, nos deux guides insistent sur la notion d’amour et de lien passant par l’odeur d’un autre point de vue.

Elles nous disent qu’au final, l’amour est autant animal qu’âme.

L’amour additionne. Il conjugue. 

L’amour unit.

On le voit bien dans un couple, où il unit deux personnes. Unir c’est la base du concept de l’amour.

Symboliquement pour l’individu, l’amour intègre les parts de soi. C’est l’amour de soi. 

Et les parfums l’aident dans cette exploration de défragmentation de l’être. Dans son retour à soi. Dans la guérison de ses blessures. Notamment cette blessure là.

Alors oui, le vase peut être vu comme le Vase Christique où la magie dans l’amour opère. Il peut être vu comme le corps, gardien de l’odeur magique de l’âme. Comme le coeur qui délivre l’effluve d’amour. 

Mais dans tous les cas, pour que la magie se répande, le vase doit s’ouvrir.

Les émotions doivent se vivre.

Les odeurs sentis avec une respiration qui agrandit l’espace du coeur.

Ainsi l’essence de vie se libère en nous.

Et notre étincelle de vie retrouve le mérite et la joie de vivre pleinement cette incarnation.

De nous reconnecter avec notre féminité.

D’élaborer la Mère positive intérieure.

D’entrer en reliance avec Vénus.

En résumé, nous pourrions dire que notre odorat nous aide à guérir et faire vibrer notre espace du coeur, pour répandre la propre odeur de notre âme.

Alors, oui, jouons avec les odeurs et voyons jusqu’où elles peuvent nous aider à ouvrir notre amphore-coeur.

Les myrrhophores nous questionnent :

  • Quelle place occupe le sens de l’odorat dans votre vie ?
  • Avez-vous déjà reconnu une odeur dans la rue ?
  • Est-ce qu’une odeur vous a déjà fait revivre des souvenirs ? Si oui, laquelle et quels souvenirs ? Êtes-vous capable de ressentir à nouveau ce parfum particulier ?
  • Quelles sont vos odeurs préférées ?
  • Existe-t-il une plusieurs odeurs que vous n’appréciez pas ?
  • Sont-elles raccroché à des mémoires ?
  • Regardez les listes faites lors des questions d’ombres et de lumière de Morgane le Fay : y en-t-il certaines liés à des odeurs particulières ?
  • Est-ce que vous vous permettez de sentir vos effluves préférées régulièrement ? Quotidiennement ?
  • Appréciez-vous vos odeurs corporelles ? Celles de vos proches ?
  • Celle des parfums ? Si oui, naturels ou artificiels ?
  • Avez-vous déjà été à la rencontre d’une odeur de façon méditative ?

Contempler une effluve : 2 méthodes

L’odorat nous aide à rétablir notre ancrage et assure notre retour au corps et à la connexion au réel.

Mais en plus, les parfums permettent de rencontrer nos sensations avec joie et sécurité. Ils nous portent à faire face à la douleur et la peine afin de les intégrer.

Je vous propose une rencontre consciente avec une odeur que vous aimez.

#1 Méditation 

Évitez de choisir un parfum complexe, prenez une huile essentielle ne contenant qu’une seule note pour commencer.

Puis, installez-vous confortablement quelques instants avec votre effluve :

  • ressentir le sol, l’ancrage et le corps ;
  • laisser la respiration se faire et se se développer ;
  • respirer l’odeur sur 3 inspirations ;
  • arrêter et notez l’influence de cette odeur sur votre corps : une sensation s’est-elle éveillée ?
  • continuez votre exploration par 3 inspirations et une pause dans laquelle vous plonger dans votre coeur ;
  • quand vous avez finit, inspirer l’effluve et guidez-la vers le coeur. Sentez le se remplir ;
  • puis sur l’expiration, faites partir la respiration du coeur vers tout votre corps pour l’inonder du parfum ;
  • laissez l’énergie circuler et continuez votre journée !

#2 Neurographie

Nous pouvons aussi entrer en contact avec une effluve à l’aide d’un peu d’art thérapie !

Le monde de l’art thérapie est tombé amoureux du dessin neuro graphique.

Certains l’utilisent pour nettoyer le subconscient. De mon côté, j’aime l’utiliser pour intégrer et pour manifester.

Un peu comme de l’art magique !

Cette méthode permet donc de rassembler tout ce que vous avez appris sur votre passé tout en transformant votre futur.

Tout en étant magnifique et totalement addictif 🙂

Ça vous tente ?

Vous allez avoir besoin d’une feuille, d’un feutre et de crayons de couleurs. C’est tout !

 

Les principes de la Neurographie

Dans les vidéos suivantes, je vous présente rapidement les principes de la neurographie puis je vous montre une réalisation en pas à pas. Et comme d’habitude, vous pouvez choisir de visualiser la vidéo suivante et dessiner plus tard, ou bien de dessiner en même temps que moi !

 

 

Lien direct de la vidéo : bases de la neurographie

 

Phase 1 : les « racines »

Lien direct de la vidéo : les bourgeons

 

Phase 2 : le coloriage

Après un temps de travail qui varie selon la taille du projet et le soucis du détail (comptez 1h00 au minimum) nous pouvons continuer avec la vidéo suivante.

Cette étape est facultative, mais elle ajoute de la beauté !

Sans oublier que les couleurs agissent sur nous comme des outils de guérison à part entière.

 

 

Lien direct de la vidéo : la mise en couleurs

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