Sororité
Témoignages entre soeurs
Dans cette page, seront ajoutés au fur et à mesure vos témoignages et les photos de vos réalisations. Merci d’avance de faire vivre le clan des soeurs à travers vos partages !
J’attends vos mots et/ou créations dans ma boîte mail : sheartswild@gmail.com
Fanny Wild 2025 : pour commencer, vous trouverez mon conte dans l’article qui lui est dédié.
Parallèlement à ce que j’ai largement pu évoqué au cours de cet atelier, je dois dire que je ne m’attendais pas à entrer si profondément dans ma propre féminité et dans la guérison des femmes de ma lignée et de ma famille actuelle.
Cette toile créée lorsque le projet d’atelier de l’enfant intérieur n’était même pas encore une ébauche mentale, m’envoyait déjà dans cette direction.
Elle s’appelle « lamentations de femmes » et elle m’a fait pleuré les larmes de toutes mes ascendantes qui se retenaient. J’entendais leurs cris, leurs suppliques !
Ce fut… violent.
Mais ce n’est qu’à la fin de l’atelier que je reliais cet évènement au reste. Les lamentations des femmes, avaient-elles été à la source même de ce processus de guérison ?
Je découvris dans mes recherches sur la Mandorle et les Myrrophores, que c’étaient les prêtresses qui étaient payées pour pleurer dans les initiations (Eleusis) mais aussi pour les fêtes d’Isis.
Les lamentations sont donc sacrées !
Nous n’en avons plus.
Dans le conte, je devais faire pleurer les femmes et rendre son côté sacré à cet acte féminin. Ainsi, toute la procession pleure quand l’époux ne s’est pas montré.
Et la jeune fille pleure pendant 7 ans. Elle pleure en devenant une femme… ou alors… c’est pleurer qui fait d’elle une femme ?
Quoi qu’il en soit, ses pleurs sont les clefs de la résolution. En jetant les ciseaux qui créent la séparation dans ce lac de larmes, elle accède au processus de cinitras de l’alchimie dont le cygne et l’animus sont les symboles : du dessous du sous-sol le plus noir, le mariage a lieu au sommet d’un building.
Oh et à côté d’un parc d’attraction (pour le fun me dit mon enfant intérieur !) Car oui… arrivé ici, la curiosité et l’envie de jouer reviennent.
Je pense qu’une page se tourne.
Les ateliers dédiés aux chakras « inférieurs » sont définitivement TOUS reliés au féminin. La suite nous permettra d’aller explorer le masculin et ses blessures.
Dans les chakras dits « supérieurs ».
Là haut, sur la terrasse la plus haute du building…

