Mintakan

Si vous me suivez, vous savez certainement que j’aime enquêter sur mes peintures intuitives ! En cette 1ère nouvelle lune de l’année, j’ai le plaisir de vous révéler une nouvelle recherche sur une nouvelle toile ! Yeah !

Petit rappel avant de se lancer : le processus de créativité intuitive permet de plonger dans son inconscient et d’illuminer son Ombre, son karma et d’aller à la connaissance de Soi.

Les peintures ainsi créées, comportent des éléments de sagesse, qui souvent, peuvent nous échapper au premier abord.

Je ne place pas intentionnellement certains symboles ou couleurs pour exprimer quelque chose de mental. Je commence mes peintures sans savoir quelle direction elles vont prendre. C’est un travail avec l’inconscient et c’est pourquoi j’enquête, ensuite, sur mes propres productions pour en rechercher l’enseignement caché.

Car oui, nos peintures peuvent être de véritables Maîtres enseignants. Vous trouverez bien d’autres enquêtes dans les articles de ce journal ! Le dernier en date étant sur une peinture représentant Marie-Madeleine ! 

Parfois, il me faut des mois de recherches pour enfin tout saisir… ce que je trouve absolument passionnant !

Et l’enquête que je vous propose aujourd’hui commence il y a presque 5 ans. Autant dire, les amis, que je vous réserve du lourd dans cet article !

 

 

 

 

 

En mars 2017, je tentais ma toute première expérience d’hypnose régressive, appelée QHHT (avec une thérapeute adorable formée à la méthode développée par Dolores Cannon).

Lors de cette session je revivais notamment 2 vies.

Revivre ?

C’est à dire, se retrouver dans les corps, avec les émotions, les bagages décisionnels et les compréhensions des « personnages » de ses vies.

Mais comment savoir que nous ne sommes pas en pleine dérive de notre imagination à ce moment là ?

Comme pour les voyages dits « chamaniques » et méditations actives, un indice clef, pour en être sûre, est de savoir que nous n’aurions jamais amené notre imagination à cet endroit. Le fait d’être soi-même surpris est le signe que nous ne sommes plus dans le domaine de notre imagination.

La vie antérieure que j’ai expérimenté est 1) en dehors de la planète Terre ! 2) Dans l’eau !

Voilà pourquoi je sais que je n’ai pas pu imaginer cela : je ne suis pas fan de science fiction dans l’espace.

Ni l’astronomie ni l’astrologie ne sont des passions chez moi. Quand à l’eau… et bien j’en ai peur ! J’ai failli me noyer à l’âge de 14 ans et mon oncle est décédé dans un sous-marin. Bref, « sous l’océan » ne me fait pas rêver et je me serai imaginé à peu près partout ailleurs : chez les Aztec, les Egyptiens, ou même à Bali… partout… mais sur Terre.

Voilà exactement ce à quoi je pensais en entrant dans ce monde aquatique : cet autre moi était remontée à la surface et regardait les étoiles. Oui. Dans cette vie, j’étais en plus… une sirène !

 

 

 

 

 

 

L’eau était clair.

Tout était clair hormis le ciel noir.

La planète, je l’ai décrite dans la session comme « une planète de cristal. » Cela aura son importance !

J’ai surtout vu la surface et le ciel de cette planète. En particulier son dôme… une gigantesque structure cristalline au-dessus d’elle.

Puis… les images sont passées à la destruction de la planète.

Cette vie me laissait un goût amer de déception et d’échec, tinté d’une sensation de malaise.

Une destruction de planète quand même ! Je n’avais pas envie de l’explorer d’avantage et je la laissais de côté tant que je n’étais pas prête.

Et puis… il y a eu le stage de Quête de Vision de 2021 qui a bousculé les choses.

Mon fonctionnement pédagogique est de guider les participants de mes stages par l’exemple. Ainsi, pour vous emmener dans vos territoires inconnus (et en recevoir les sagesses dont vous avez besoin), je réalise en même temps en parallèle, ma propre quête.

C’est aussi pour cela que je ne propose qu’un seul stage comme celui-là par an ! Une quête par an, c’est déjà pas mal à gérer, croyez-moi.

Et cette fois, c’est une magnifique sirène qui s’est montrée… me confrontant directement avec ce que j’avais repoussé maintes fois.

 

 

 

 

 

 

 

J’associe à certaines étapes clefs du stage, un temps de travail avec les cartes (tarots et oracles).

C’est essentiel de pouvoir accompagner tous les questionnements que soulèvent les différents stades des peintures de chacun.

Et les cartes m’ont déjà prouvé leur faculté de soutien à la compréhension, nous apportant des indices et des orientations face à ce qui surgit sur nos toiles.

 

 

 

La première carte Merlin : cette carte a une double signification que je ne saisirai que plus tard. Disons que son nom, déjà, était très caractéristique. Merlin ! Je pensais au magicien du Roi Arthur. Etait-ce lié au le masculin divin ? Je sentais que non, sans que je puisse clairement saisir pourquoi.

Lorsque la lecture intuitive me laisse perplexe, je consulte les mots de l’auteure : cette carte parle de traumatismes de type guerrier. Notamment l’aspect d’avoir été au service d’une nation (ou autre) et d’avoir été trahi par son pays… « transformé en chair à canon ».

La carte pose la question de savoir de qui ou de quoi nous sommes au service.

Un 9 d’épée en plus permet de montrer qu’il existe un débordement émotionnel et une peur des choses que l’on sait qui risquent d’arriver. La fatalité ! Comme les émotions liés aux risques à partir sur le front par exemple.

 

 

 

Deuxième carte : serpent

Je me rappelle que la nuit précédent le stage, j’avais rêvé d’un serpent bleu. Ce n’était pas la première fois et j’en avais déduis à l’époque qu’il y avait un lien avec la Vierge Marie (ils s’agissaient des « 3 serpents de Lourdes »… assez clair non ?)

Dans le rêve, la tête et le corps du serpent se séparaient et oui, la carte Merlin parlait aussi d’une décapitation.

Après analyse, j’interprétais que dans notre société (et en chacun de nous certainement) la tête, le mental donc le masculin était séparé du corps, de la féminité et des qualités du féminins incarnées par Marie.

Sans son corps, sans son âme, la tête devient folle, cruelle. Elle doit retrouver son corps !

Sa féminité.

Ensuite, une fois qu’elle aura retrouver sa complétude, elle pourra agir en serpent qui transmute, qui transforme. Qui soigne.

 

Les Cartes 3 et 4 : Compassion aimante et Intuition

Ces cartes nous disent d’aller profondément dans le coeur et nous conseillent aussi de développer encore d’avantage notre intuition. De faire encore plus confiance à notre monde intérieur.

L’ensemble des cartes soulevèrent finalement plus de questions que de réponses mais ça y était… j’étais scotchée.

Il me fallait creuser. Trouver le sens de la Vision de l’hypnose, de sa résurgence en forme de peinture et dans les tirages.

Après le stage, nous avons emmené les enfants fêter Halloween. Je ne revenais sur mes interrogations que plusieurs jours plus tard en passant à l’examen de la thématique de la sirène en psychologie des profondeurs (sources en fin d’article).

 

 

 

 

Le premier mot qui me vient pour décrire la sirène est « mystérieuse ».

Voilà ce qui qualifie le mieux l’aura de ces femmes qui charment et qui perdent les hommes.

On trouve les sirènes à la fois chez les grecques sous le nom « Siren » en anglais, comme étant des êtres mi-femme mi-poisson. Ce sont des musiciennes au talent divin. Très attirantes par leur beauté et leur chants.

Ovide les associe aux compagnes de Perséphone qui furent dotées d’ailes après l’enlèvement de la Déesse, pour aider sa Mère, Déméter dans ses recherches. Passant dans l’élément air, elles devenaient un lien, un pont entre les mondes.

Sur les territoires nordiques, la sirène devient « Mermaid » en anglais, mi-femme et mi-poisson cette fois.

Mermaid est un terme composé de « Mer » qui signifie la mer et de « Maid » la servante. Maiden est un terme fréquemment rencontré chez les Déesses Vierges comme Diane, Artémis ou… Marie.

D’ailleurs le prénom Marie est issu directement de « Mer » d’où son association à la mer, l’eau et la couleur bleu !

Ces jeunes filles de la mer sont donc les servantes de l’eau, symbole du féminin.

Encore une fois, on retrouve le lien avec la Vierge Marie. Un de ses qualificatifs bibliques étant la « petite servante de Dieu », on retrouve l’idée de service de la carte 1, Merlin.

Le nom Merlin proviendrait de la même terminologie ! « Merlin » serait pour « Mer »-« Line », la lignée des Mer, des Marie.

Certaines théories affirment que les prénoms « Marie », « Myriam » ou « Mariamme » étaient d’abord un titre.

Un titre de dévotion.

Un titre pour les prêtresses de sang royal… élément qui vient confirmer les recherches que j’avais déjà pu mener sur Marie-Madeleine (je vous en parle dans les futurs ateliers en ligne à venir !)

Ici, en plus, il faudrait en conclure que les sirènes seraient elles-mêmes des prêtresses !

Cela remet en relief l’avis de Cicéron sur les risques encourus par ceux qui pourraient rencontrer des sirènes : « le danger qu’elles représentent est leur très grande connaissance, car elles sont un lien entre les mondes ».

Elles chantent chez les vivants les Vérités des autres mondes, des Vérités trop grandes et donc fatales dans de mauvaises mains. Des Vérités qui peuvent rendre fous.

Si les sirènes sont dangereuses, elles le sont pour les esprits et les entendre revient à une épreuve initiatique. Une épreuve où elles peuvent nous emmener dans leur monde aquatique, domaine de l’inconscient… et nous y noyer.

Amener l’humain a plus de spiritualité est une quête de souffrance aux abords séduisants.

La musique est une magie guérisseuse utilisée par Vénus Elle-même. Les effets du son sur les ondes cérébrales créant des transes (donc des voyages dans les autres mondes) ne sont plus à démontrer.

La sirène est le symbole aussi bien du charme, de la séduction virginale tout autant que celle de la femme fatale. Celle qui fait perdre la raison. Mais si la prêtresse-sirène est une destructrice, elle l’est uniquement pour le mental conditionné à être séparé de l’âme.

On retrouve là, l’idée de la tête du serpent séparé de son corps.

 

 

 

 

Même si un sens commençait à prendre forme à ce stade de ma petite enquête, tout restait encore globalement flou pour moi.

Ce qui m’appelle toujours à une carte de plus…

D’ailleurs, mon mental s’appuie sur elles comme sur une carte géographique, tentant de retrouver son chemin et son orientation…

Mintakan fut la carte qui relança mes recherches dans une direction qui changea tout !

Cet oracle parle d’existences sur une planète ancienne de la constellation d’Orion.

Une planète particulière… une planète… cristalline !

Ce mot clef m’interpella forcément et je trouvais des informations intéressantes chez des médiums (sources en fin d’article) : « Mintaka est une étoile de la constellation d’Orion. Il est possible que cette étoile avait une planète, peut-être plus d’une, tournant autour de son corps… et qu’elle aurait été détruite ».

Il y avait de quoi me laisser totalement bouche bée !

Trouver de telles confirmations à une vision reçue presque 5 ans plus tôt à de quoi vous remuer.

Encore plus lorsque je lisais la suite : « le collectif qui aurait vécu sur cette planète était composé de sirènes/trions et d’autres êtres aquatiques comme les dauphins ».

!!!!!!!!

 

 

 

 

La peinture est inachevée à l’heure où j’écris ces lignes (j’éditerais avec la version finale).

Je ne pouvais simplement pas me concentrer sur la toile, sans que surgissent de la tristesse, de l’incompréhension. Le même malaise que celui de la séance d’hypnose n’a fait que ressurgir constamment… ainsi que tout un tas de blocages émotionnels qui faisaient que je ne trouvais pas la force de me plonger dans cette peinture.

C’était tout simplement trop désagréable et je me demandais alors : la planète cristalline avait-elle une ombre à intégrer ?

Là encore, pour le savoir, je m’oriente vers un tirage. Après tout, les cartes ont démontré être un véritable soutien dans cette recherche.

Cette fois, j’avais besoin de comprendre l’enjeu de cette remontée, de définir clairement ce malaise…  je m’orientais vers « The reclaim oracle », un de mes tout dernier deck acquis, permettant de travailler sur les émotions.

Carte 1 : confiance (trust) indique que ce malaise provient d’un problème de confiance. C’est la première fois que surgit le concept de croyance.

Carte 2 : alchimie m’informe d’un nettoyage d’un processus laissé de côté. Et oui, j’ai clairement laissé intentionnellement de côté cette vie antérieure de sirène pour ne pas m’y confronter. Quand on ne souhaite pas faire une chose indispensable, la vie trouve toujours un moyen de nous y conforter !

Carte 3 : la ligue noire parle de l’origine de ce karma ! Orion. C’est une confirmation forte que tout ce qui a été trouvé précédemment avec Mintakan, un des Soleils d’Orion, est juste. Je suis donc bien sur la bonne piste.

Carte 4 : Notre Dame de la direction divine. Il s’agit d’une très belle carte où est représentée Marie au milieu de l’eau et des poissons… on est pile dans la thématique ! J’adore ! En l’a voyant je pense au rayon bleu d’El Morya qui représente la Volonté Divine. Marie a en effet été au service de la Volonté du Divin avec la naissance de son enfant et bien plus encore…

Il était déjà question d’être au service dans la toute première carte liée à la peinture : Merlin !

Carte 5 : Foi (tirée avec le mot VOID). On retrouve ici l’idée de confiance, comme pour la carte 1. La confiance envers le Vide ? Oui quand on sait que le Vide est aussi un symbole de la Grande Déesse Nut, Binah…

Carte 6 : Beith, la Mère Divine Binah justement !

 

 

 

 

 

 

Synthèse : ce malaise ressenti pourrait donc être ce qui ressemble à une crise de foi.

En vivant comme prêtresse de la Déesse, que pourrions-nous ressentir devant la destruction d’une planète aussi pure ?

Envers la divinité que l’on a servi toute sa vie et qui a laissé faire ?

Trahison. Injustice. Echec. Colère. Déception. Tristesse. Nostalgie…

Se poser cette question c’est remettre toute sa (ses ?!) vies en perspectives, toutes ses croyances jusqu’au plus profond de ses tripes.

Elle est source de blessures au niveau de l’âme comme la trahison, l’abandon ou l’injustice !

Et c’est ce qui a peut-être engendré aussi l’Ombre de la sirène ? La sirène en tant que femme fatale, comme fatalité… une destiné à laquelle on ne peut échapper.

Une volonté divine que l’on ne peut comprendre.

Parfois injuste et cruelle.

Quelle cohérence avec le tout premier tirage qui était associé à un traumatisme lié à l’idée de servitude !

D’ailleurs, le channel continuait de parler des starseed (âmes ayant vécues sur d’autres planètes avant de s’incarner sur Terre et d’y travailler pour y ancrer la lumière) de Mintakan ainsi : après la chute de leur planète bien-aimée, la conscience de certains des êtres morts avec le monde physique et les survivants auraient voyagé jusque sur Terre. Ils seraient ainsi connus pour être les premiers artisans de la lumière ou starseed.

(…)

Les starseed de Mintakan sont chargés du traumatisme de l’effondrement de leur monde et portent une profonde tristesse. Ce qui est très similaire aux âmes lémuriennes et atlantes qui vécurent pendant l’effondrement de leurs propres civilisations.

 

 

 

 

 

 

 

Le mystère reste entier

Alors, alors ?

Est-ce qu’il est envisageable qu’une planète cristalline ait été détruite dans la constellation d’Orion, entraînant la mort de prêtresses-sirènes qui étaient au service de la Grande Déesse ?

Est-ce que ces prêtres et prêtresses sont venus ensuite sur Terre pour continuer leur mission de service et aider la planète dans son ascension ?

Sont-elles à l’origine des lignées de prêtresses terriennes, ou Marie ?

Ces lignées travaillaient-elles avec l’eau et les sons comme les anciens de Lémurie ?

Ont-elles désormais une opportunité de purger leurs blessures ?

Ont-elles perdues à jamais leur bien-aimée Maison ?

 

 

 

S’il n’y avait rien qu’une toute petite probabilité que des prêtresses et des prêtres de Mintakan aient existé, n’y auraient-il pas des preuves de tout cela sur Terre ? Une expression témoin, même inconsciente de ces vies antérieures chez des peuples anciens ? (Comme les témoignages grecques pour Atlantis par exemple ?)

Dans les églises (les Notre Dame) des représentations sculptées de Mélusine, la femme serpent, sont assez fréquentes.

En Afrique, la Déesse Yemanja, mi-femme mi-poisson est la Déesse de la Mer depuis les temps immémoriaux. Récemment Elle a subit une sorte de syncrétisme avec la Vierge Marie dans les pays d’Amérique Latine (où Elle a été exporté en même temps que les esclaves africains).

Dans ces deux derniers cas, on retrouve bien l’association des sirènes avec la lignée mariale !

Un des nombreux qualificatifs de la Vierge Marie est la Stella Maris, a priori emprunté à la Déesse Isis et qui signifie, l’étoile de la Mer.

A moins que ce ne soit … l’Etoile-Mer ? Un autre nom pour planète cristalline des étoiles d’Orion ?

Mais le plus étonnant, ce sont les représentations de prêtres et prêtresses sous la forme de femmes et hommes sirènes en Mésopotamie ! Ici au Louvre et ici au British muséum. La dernière est datée d’environ 700 ans avant Jésus-Christ.

 

 

 

 

 

 

Peut-être serez-vous ici déçus, que je ne puisse répondre aux questions soulevées précédemment. Par contre, j’avoue être totalement passionnée par ce nouveau mystère et par toute l’ouverture de conscience que la perspective d’une telle histoire peut amener. J’espère que cette enquête vous a plu autant qu’à moi !

Et pour finir, si vous vous sentez l’âme d’une starseed ayant vécu sur une planète cristalline et que vous pensez devoir guérir d’une telle blessure, les Equilibrium d’Aura-Soma peuvent apporter un soutien intéressant (en plus des futurs ateliers en ligne sur les blessures bien entendu). Voici les bouteilles que je vous recommande :

  • B071 – le joyau dans le lotus : aide à dépasser le malaise et la souffrance résiduelle
  • B047 – la vieille âme : un allié pour relier les sagesses éparpillées dans les multiples vies d’une vieille âme
  • B033 – l’inspiration : pour établir une re-connexion avec la planète cristalline et ses énergies (dont les dauphins !!!!)
  • B026 – 1ère aide : si le choc est encore trop présent et non cicatrisé (à utiliser à la place de B071 dans un premier temps).

N’hésitez pas à apporter votre témoignage, votre vision ou vos hypothèses dans les commentaires ci-dessous.

 

Sources :

rebecca Campbell 

cascatediluce

the metaphysical chick

souls space

be love live

koregos

latitouniere

madmoizelle

Womb awakening et Marie Magdalene de Azra et Seren Bertrand