Le Joyau
le chakra harmonisé + le joyau de la grâce (une danse entre expression de l’impulsion de vie innocente dans le cors = enfant intérieur et une conscience élevée.)
+ La Mère intérieure positive : une Mère intérieure qui passe du statu de Manager au statu de Self p149 ISF.
Le self peut être vu comme dans l’union de l’essence trinitaire : le père intérieur guérir, la mère intérieure guérit et l’enfant intérieur guérit.
Le sefl c’est la Mandorle parfait et non abîmée qui donne sa juste place à l’individu.
Les trois coeurs nous permettent d’entrer en fusion avec le vent et la terre.
L’évolution de la planète terre est parsemée d’épreuves qui touchent au domaine de l’amour, au domaine de la reconnaissance de ce que nous sommes (notre essence), au respect profond de ce que nous sommes et au respect des autres.
Or la plupart des gens ne peuvent aimer de manière inconditionnelle. Ils évitent de rencontrer leur douleur. Et de rencontrer ce pourquoi il se sont incarnés.
Lorsque nous aimons, nous fusionnons avec notre divinité. L’énergie de l’amour nous élève. Nous purifie. Nous guérit. Nous défragmente. Nous intègre. Nous unit.
La puissance de l’amour n’est pas mesurable.
L’amour guérit.
Les humains incarnés ont peur de la douleur et d’utiliser la douleur pour s’élever, car pour cela, il faut commencer par la ressentir.
Incapable de côtoyer la maladie. La souffrance des autres non plus. On ne peut pas aimer l’autre sans reconnaitre sa douleur.
Incapable de ne pas nourrir le ressentiment.
Venir sur Terre, c’est faire le choix de rencontrer la douleur et de transcender les blessures.
De voir que nous soufrons tous et comme Quan Yin nous l’a transmis, qu’aucune douleur n’est supérieur à celle d’un autre.
Nous avons le choix de guérir dans cette vie, ou de remettre notre guérison à notre prochaine incarnation.
Aimer s’est aidé les autres à s’élever dans la liberté : car si l’on vit sans attachement, nous n’avons pas besoin de nous nourrir de l’autre. L’inconditionnel suffit à nous nourrir. À remplir notre coupe d’amour et la faire déborder ensuite.
Nos n’avons pas à utiliser l’autre pour remplir notre coupe.
Le but, est de contacter notre souffrance dans l’énergie de l’amour et de la transcender et de lui redonner sa liberté. De se détacher de notre douleur.
Plus les coeurs karmiques est physiques s’harmonisent, plus ils se développent et poussent le coeur spirituel à évoluer pour faire évoluer le collectif.
Chaque guérison personnelle de cette blessure amène directement à une poussée évolutive de toute l’humanité.
L’espace du coeur est un lieu de transcendance lorsqu’il est nourrit d’amour inconditionnel. C’est à dire qu’il transforme le non amour en amour.
Pour cela, il faut ouvrir son coeur. Mais en l’ouvrant, on ressent beaucoup de souffrance. Sa souffrance personnelle avec les coeurs physiques et karmiques mais aussi collective, avec le coeur spirituel.
Ressentir plus de souffrance n’est ni bon, ni mauvais, comme nous la montrer Morgan, c’est quelque chose de neutre et naturel.
Et c’est nécessaire à la transcendance qui a lieu à travers toutes les multiples chambres du coeur.
L’ensemble des 3 coeurs forme la croix.
Et le coeur spirituel, le 3e coeur, celui qui est en voie de développement sur Terre est relié à l’énergie christique. Et ici je parle bien d’énergie christique que Jésus a réussit à vivre pleinement, mais qui ne se limite à ce maitre.
Ce n’est pas une énergie à trouver à l’extérieur. À attendre, chez un éventuel sauveur. Mais à trouver dans la vibration d’amour.
Car cette énergie est tout autour de nous. Elle se vit, se reçoit en allant puiser dans le coeur.
C’est une nouvelle conscience.
Mais comment faire, lorsque nous n’avons pas été élevé, comme Jésus, dans l’amour inconditionnel de sa mère ?
En commençant par comprendre que l’amour inconditionnel n’est pas conditionné, ne doit pas remplir certains normes ou conditions qu’applique l’égo.
C’est l’inverse de l’attachement. C’est accepter la possibilité de tout perdre. Que nous ne possédons rien en réalité. Que d’une seconde à l’autre nous pouvons perdre la vie et entamer la grande transition. Ou qu’un énième test se présentera à nous.
Le joyau se trouve dans un espace coeur purifié. Dans le maintien d’un coeur joyeux et élevé : celui d’un enfant.
Si nous reconnaissons que nos émotions sont pures, qu’elles sont la vie, la vie dans sa simplicité, dans sa pureté, dans sa divinité, alors les émotions s’élève des chakras inférieurs vers le coeur pour les purifier.
Puis elles vont encore monté vers le 3e oeil, pour créer et enrichir une nouvelle conscience.
Positif – équilibré
L’espace du coeur porte naturellement l’amour inconditionnel. L’énergie qui siège dans le coeur est la joie pure, l’amour donc et la vie.
C’est l’ouverture, la réceptivité, l’accueil, la compassion, la fusion, la reconnaissance, la gratitude et la grâce.
Les relations avec tous les autres sont en harmonie.
Capacité de donner et recevoir.
Confiance à la vie, en son abondance et en sa justesse.
Sait capter les intentions et les qualités des êtres qui nous font face. Détecte immédiatement.
Libérée des blessures, il est ouvert, innocent, frais et radieux. Rayonnant. Acceptant. Gracieux. Libre. Aéré, léger, simple et doux.
Ouvrir son coeur nécessite une transcendance de l’égo. Car pour pouvoir aimer, il faut retrouver l’innocence et dépasser les histoires mentales de l’égo sur une situation pour renouer avec l’émotion et le partage intime. Coeur à coeur.
Centre équilibre et paix intérieur
Équanimité.
L’oeil du cyclone où règne la paix face au chaos extérieure. Centre de paix intérieure.
L’amour qui émerge avec un sentiment de paix qui provient de l’absence de besoins, avec une acceptation enthousiaste de notre place dans le monde et la joie rayonnante qui naît de l’harmonie intérieure.
Le centre.
On dit aller au cour des choses, qui fait référence au centre des choses, à leur essence, à la vérité fondamentale. Le coeur est ke centre spirituel.
Un espace d’union qui donne un sentiment de complétude. De réalisation entre l’esprit et la matière. Du masculin et du féminin.
Complétude = paix intérieure.
C’est donc le centre de l’amour.
Nous nous aimons et nous aimons les autres en équilibre parfait.
En étant ancré dans le coeur, l’harmonie corps et conscience est créé et se traduit par un sentiment d’appartenance à l’humanité et un équilibre entre donner et recevoir.
Ancrage + Le lien corps esprit et complétude
La poussée exaltante de l’amour peut nous faire perdre nos bases.
Encore une autre raison pour laquelle cette blessure apparait après l’enracinement et la mise en place du trône intérieur.
Aéré face à l’asphyxie que peut être certains amours.
Et donc, lié à la respiration.
Respiration qui est une interface entre le spirituel et le matériel. L’esprit qui souhaite contrôler le corps passe par la respiration.
Les hindous pensent que la respiration représente un passage entre l’esprit et le corps. Leurs technique de respiration appelé pranayama visent à purifier l’organisme et à accéder à un élargissement de conscience. Donc de la zone du coeur.
C’est la connexion spirituelle, la grâce spirituelle.
Un centre qui permet de voir le sacré partout sur Terre. Ce sacré qui nous donne l’envie de soigner et protéger.
Souvent notre esprit est en guerre contre notre guerre, qu’il voudrait différent. Plus beau. Avec plus de vitalité. Plus de cohérence dans ses besoins.
Le corps aussi peut entrer en conflit avec l’esprit… quand il n’obtient pas ce dont il a besoin il peut s’épuiser ou devenir malade afin de s’exprimer.
Cesser la guerre entre eux est un premier geste d’acceptation de soi. De compassion envers soi-même, pour approcher un état de plus grande harmonie intérieure qui fera irradier d’amour.
La mère – mater – matière.
Le coeur, son de la vie. Son rythme, la vie. Les cellules du coeur résonne toutes avec le rythme de la pulsation. Elles sont en résonance avec le rythme intérieur de notre organisme, du corps et donc de la matière.
Guérir signifie rendre complet. C’est un synonyme de complétude ou d’intégration.
Le chakra du coeur étant l’unificateur, c’est également un espace de guérison.
Des canaux d’énergie vont du coeur jusqu’au main. Ce sont les mains guérisseuses.
Les mains possèdent un grand nombre de récepteurs neuronaux et de chakras secondaire, ce qui en fait une zone de grandes sensibilités. Plus sensibles que les yeux et les oreilles !
L’envie d’aider les autres et de les guérir est naturellement issu d’une augmentation de la compassion du coeur.
Pas besoin de devenir un grand guérisseur ou un magnétiseur. Nous pouvons guérir simplement par un sourire, par une aide physique ou par de l’écoute empathique.
Un bon ancrage est nécessaire ainsi qu’un chakra du coeur bien équilibré afin qu’il irradie la joie et l’amour.
Conscience, relation et équilibre
Dans les chakras inférieurs, nous agissons selon notre instinct et faisons des erreurs. Certains schémas se répètent et nous prenons conscience par apprentissages. Les conséquences de nos agissements se stockent sous forme de mémoire et de logiques, puis un jour, elles redescendent dans le corps pour influencer nos actions.
Les relations sont l’interface entre la matière et l’information.
Le monde = somme de rapports entre soi et l’autre, l’animal, ou l’objet.
En emmagasinant les rapports, nous commençons à entrevoir la perfection et l’équilibre éternelle et naturelle. La magie dans le mondain et le banal… comme la pousse d’un brin d’herbe et le vents dans les branches.
La perfection se voit dans l’enchevêtrement délicat des systèmes entre eux. De leur cohérence et de leur nécessité à tous les niveaux.
Liée à Vénus le coeur aide donc à la perception de la beauté de l’équilibre.
Un équilibre qui s’applique aussi dans nos relations qui peuvent durer, tant que l’équilibre se maintient. Et qui s’arrêtent, quand le rapport à perdu son équilibre et qu’il est impossible à retrouver.
Un déséquilibre qui peut être entre donner et recevoir. Entre fatigue et nourrissage. Et qui touche tous les domaines : la sexualité, les tâches ménagères, le pouvoir, la communication, …
L’équilibre intérieur est nécessaire pour permettre plus facilement un équilibre de rapport avec l’extérieur et pour l’ajuster au besoin afin de le faire perdurer.
Une augmentation de conscience permet de mieux comprendre les rapports et leurs conséquences et de se sentir à sa place. C’est à dire, dans des rapports dans lesquels nous voyons la perfection et l’harmonie… des rapports plus gracieux.
L’équilibre c’est celui de l’amour de soi et de l’amour de l’autre. Équilibrer amour et individualité pour ne pas se noyer.
Vivre en équilibre c’est vivre dans un état de grâce. De délicatesse et de gentillesse.
ÉQUILIBRE VEUT DIRE AUSSI PERDURER.
Pour trouver l’équilibre, il faut être conscient du maximum en chaque instant : des informations du corps mais aussi de l’esprit.
C’es aussi l’équilibre entre donner et recevoir. Entre entrées et sorties. C’est à dire une gestion correct du stockage de l’énergie.
C’est aussi l’équilibre entre bien à mal à trouver dans une voie centrée.
L’amour n’est pas un attachement c’est un état d’harmonie intérieure finalement.
La colle de l’univers : amour
C’est le chakra relationnel et le chakra de la perception de l’amour.
L’amour est le rapport naturel entre les choses saines et vivantes.
Si les racines font de nous des individus, c’est à dire des unités individualisés et séparés, le chakra du coeur agit comme un force de cohésion pour que toutes les unités conservent leur fonctionnalités.
C’est l’amour qui nous maintient en relation.
Que cela soit dans une famille, un groupe ou autre.
C’est une force d’union mystérieuse qui irradie et attire en même temps.
L’amour est unificateur : il attire et les maintient en relation entre elles.
Un amour qui est une force qui unit tous les blocs dont la vie est constituée.
En science, le terme affinité est utilisé pour décrire la tendance d’une substance pour entrer en contact et le rester, avec une autre.
Et le résultat de cette affinité c’est le lien. Des atomes ou des molécules en affinités créent un lien, une connexion, selon des propriétés spécifiques, où l’autre possède ce dont l’autre a besoin. C’est le principe des contraires qui s’attirent.
Mais nous pouvons avoir ou non des affinités avec des personnes de champ énergétiques opposés aux nôtres. L’énergie que nous projetons vers l’extérieur en rencontre d’autres, et tous nos chakras se rencontrent. Ils recherchent l’équilibre et vont donc créer un lien avec un autre. Lorsque l’affinité d’un maximum de chakras est rencontré, il se produit un état d’acceptation et de joie qui va encourager l’intimité.
L’amour offre liberté et changements mais maintient en son centre la cohérence.
Il est paradoxal car il demande à la fois de l’intimité, de la proximité et de l’espace et de la liberté. Aéré.
Nous sommes tous fait d’amour. La matière est faite d’amour.
Nous nous aimons et nous aimons les autres en équilibre parfait.
Un amour durable, éternel et constant au contraire de l’amour du 2nd chakra qui est la passion. Dans le coeur, c’est un état d’être amour.
Relation et rapport avec Soi et le monde extérieur.
Nous cherchons tous l’amour et rares sont ceux qui pensent en avoir assez.
Plonger en extase d’amour et l’inviter en commençant par le donner.
Nous avons besoin d’amour et c’est la raison pour laquelle on reste proche ou loyaux à ces auprès desquels on se sent en sécurité et apprécié.
Nous pouvons être ceux chez qui l’autre se sent en sécurité en offrant l’énergie d’amour sous forme de compliments, d’empathie, de tendresse.
L’amour est abondance. C’est une énergie illimités que l’on tend à voir rare. Une énergie qui s’alimente elle-même.
Perçoit le monde dans son unité plutôt que dans sa séparation.
Pour être en relation nous devons être capables de : sentir, communiquer, posséder notre autonomie, notre pouvoir, voir et comprendre, nous détendre et avoir confiance en la vie pour laisser les choses arriver.
La compassion nous relie car nous comprenons que nous éprouvons tous les mêmes émotions, que nous affrontons les mêmes problèmes avons les mêmes espérances et vivons les mêmes peurs.
Cela crée un lien profond qui unit les pertes au-delà de leur différence.
Être l’amour.
Car le chakra du coeur est de nature yin. Il tend à laisser les choses simplement être. Etre.
Et donc être l’amour, être dans l’extase d’amour.
Donner inconditionnellement, c’est recevoir
Une façon de savoir si on a commencé à intégrer notre définition inconsciente de l’amour, est que nous ne cherchons plus l’amour à l’extérieur.
Nous laissons la vie nous l’offrir.
Nous laissons notre coeur nous suffire.
Tant que nous n’avons pas intégré notre définition inconsciente de l’amour, nous ne pouvons pas faire la différence entre un besoin, un désir, et ce que la vie nous offre à expérimenter.
Nous cherchons à manipuler ce qui nous arrive dans l’espoir de recréer notre empreinte primordiale. Nous ne nous intéressons qu’à nos désirs.
Et nous avons l’impression que la vie interfère sans cesse avec eux.
Nous ne pouvons pas accéder au sentiment de gratitude.
Puis un jour, nous voyons au grand jour nos tentatives. Celles de notre enfant intérieur.
Et puis un jour, nous voyons nos besoins. Et nous comprenons qu’ils sont la nourriture essentielle de notre corps.
Et puis un jour, nous voyons les évènements de la vie sans nous y attacher et comprenons que c’est la nourriture dont notre âme à besoin.
Un jour, nous sentons que notre enfant intérieur n’a plus besoin de manipuler notre réalité. Au contraire, nous choisissons d’être avec ce qui est, sans condition.
Nous découvrons que donner inconditionnellement, c’est aussi recevoir.
p. 229 de Michael Brown
