AGFS – G10 – Caput Draconis

 

 

 

 Caput Draconis   

 

Nous devenons de plus en plus conscient de notre propre nature divine.

Et c’est cela le grand secret de notre temps. C’est cela que les décennies de notre histoire ont cherché à nous cacher : notre Caput Draconis.

Ayant parlé jusque là uniquement du premier pilier de la Voie des Madeleine, il est désormais tant d’évoquer le second. Pour y arriver, nous utiliserons la métaphore du serpent de la Sagesse.

Vous trouverez tous les détails dans cet audio :

 

 

 

 

De la tête au coeur

L’union de notre divinité, notre tête de Dragon à notre corps est représenté par l’Ouroboros. Il est le symbole du Mariage Sacré ou Hiéros Gamos (le mariage divin) pour les alchimistes. Mariage que l’on peut voir également entre le mental (notre égo blessé du premier pilier) et du coeur.

C’est une notion très importante pour la Voie des Madeleines. En effet, la femme en rouge est souvent décrite comme l’épouse et la bien aimée. La gardienne de la chambre nuptiale.

Sans doute est-il question également de rite de magie sexuelle tantrique (en unissant plus que matériellement les corps féminin et masculin).

Le Hiéros Gamos parle d’union féminine et masculine sur TOUS LES PLANS et du renouveau du pouvoir guérisseur du coeur.

Le mot égyptien pour le coeur est ab.

C’est aussi le mot pour conscience.

Ab ba signifie coeur-esprit.

C’est par le coeur que se joue la suite de notre aventure. Quand on mélange le coeur avec le mental supérieur, l’Esprit, nous commençons à expérimenter le mariage sacré entre les mondes des esprits et ceux des humains.

La conscience se déplace de l’égo et de ses besoins… à celui de l’âme. Cet éveil de l’âme est incroyablement puissant.

Astuce : pour contacter en Soi ces 2 énergies et les rééquilibrer, j’utilise l’Huile Essentielle de Fragonia pour notre partie lunaire. Pour la solaire, celle d’orange Douce.

 

 

 

 

Le feu du coeur

Tous les ateliers que je propose commence par une pratique de respiration du coeur que vous pouvez retrouver sur cette page.

Il s’agit d’une manière d’entrer dans l’immense amour et force d’énergie qui résident à l’intérieur de la vaste caverne du coeur. Cette pratique nous nourrit, mais elle est aussi capable de nous connecter aux autres mondes de l’Esprit… quand nous la transformons un peu plus.

Nous commencerons chacune des pratiques suivantes par un outils chamanique qui sera notre référence : le feu du coeur.

Veuillez noter que lorsque j’utilise la terme « chamanique » je ne me limite pas à une culture spécifique : amérindienne ou maya, totltèque, mongole, celtique, … mais pour évoquer la capacité humaine à faire prendre forme le sacré. Vous pouvez remplacer ce mot par n’importe quel autre qui vous plairait davantage ou vous mettrait plus à l’aise comme : outil psychologique, alchimique, … ou sacré tout simplement !

C’est une capacité qui transcende totalement notre appartenance religieuse —-> Peu importe vos croyances personnelles, vous pouvez activer votre feu du coeur!

D’ailleurs ce feu s’ouvre naturellement de lui-même lorsque nous tombons amoureux 🙂 Il ne s’agit pas de découvrir une nouvelle sensation, mais bien de retrouver ce sentiment déjà connu. Ce sentiment absolument délicieux qui fait crépiter notre poitrine.

Il y a quelques années, j’avais organiser un programme que j’avais partager pour apprendre à stimuler ce feu intérieur mais aussi à le diriger.

Voici, dans cette vidéo, comment je l’expliquais alors :

 

 

 

Mon témoignage

Comme je l’évoquais dans la vidéo ci-dessus, tout est parti, d’une expérience chamanique.

Alors que je réalise une méditation active dans le monde d’en haut, mon guide désigne mon coeur. J’y vois alors une petite flamme transparent, légèrement bleutée. Une flamme vivante. J’y reconnais la Vie ! Je me dis alors, comme souvent, qu’il s’agit d’une métaphore… que mon inconscient essaie de me dire que l’énergie vitale vient du coeur (et c’est très beau !)

C’est alors que le paysage change. Mon guide m’emmène au dessus d’une rue pleine de monde. Des gens qui s’affairent… on dirait New-York, filtrée en mode « négatif et noir et blanc ». Les gens deviennent transparent et je ne vois plus que leur contour. Ils continuent d’être pressés et de vivre leur vie. Mais à l’intérieur, chez chacun d’eux, hommes ou femmes, je vois cette même petite flamme bleutée. Chez TOUT LE MONDE.

La flamme n’a pas la même taille, le même éclat pour tous. Il y a de grandes flammes. Des flammes toutes petites. Si petites qu’on dirait des bébé-feu qui viennent seulement de démarrer.

Mais chez chaque personne, cette flamme est présente.

Je canalise le message de mon guide : la taille de la flamme dépend de notre travail spirituel. De notre travail sur soi. Je suis alors étonnée de voir, partis ces hommes d’affaires de New York, costumes et malettes pour certains, avoir de belles flammes. Et oui, l’habit ne fait pas le moine !

Je me souviens encore de l’effet de cette visualisation en moi. Non seulement j’avais pu voir ce qu’était ce feu, mais mon coeur s’était également mis à briller à l’intérieur, à s’intensifier, à devenir un espace de force.

 

 

Peu de temps après (divine synchronicité !) je recevais un ouvrage sur nos capacités méconnues. J’y découvrais ce qu’il nommait le feu du coeur et immédiatement je pu mettre un mot sur ce que j’avais vécu lors de ma méditation. En testant son approche, je renouais avec les sensations délicieuses que j’avais connu.

Au début, je n’y revenais qu’occasionnellement, ne sachant pas trop quoi en faire. Et petit à petit, je l’incorporais dans mon quotidien !

Quel ne fut donc pas ma surprise de découvrir que cet outils était aussi à utiliser pour retrouver notre Graal !

Dans le prochain chapitre, je vous guide dans l’activation de ce feu…

 

 

 

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