Le Joyau

Comment nommer autrement le joyau du coeur, que celui de l’amour ?

Ou, encore mieux (!), celui de l’amour inconditionnel ?

Joyau aux multiples facettes fait de toutes les dimensions de l’amour qui sont aussi la grâce, le détachement, l’acceptation, la transcendance, l’innocence, la chambre nuptiale ou encore, la jarre…

Dans l’audio suivant, nous explorerons l’harmonie qui découle de la guérison de notre blessure.

AUDIO

Salut à vous, c’est Fanny, bienvenue dans cet audio qui va tenter d’aller rencontrer le plus profondément possible, ce qu’est le joyau du coeur.

Alors, comme je l’écrivais dans l’introduction de cette page, le joyau du coeur c’est bien entendu, l’amour inconditionnel.

Mais qu’est-ce que l’amour ?

Pour moi, l’amour est comme une colle énergétique. C’est ce qui relie deux choses ensemble que ce soit deux êtres, ou deux molécules. 

C’est la table du dolmen, cette pierre qui relie une pierre à droite et une pierre à gauche. 

Elle a donc de nombreuses symboliques qui vont dans ce sens là.

Déjà, elle est ce dolmen dont je viens de parler avec cette pierre qui relie et qui va transformer deux choses séparées en une unité.

Le 2 devient 1.

Mais pour que cela soit possible, il faut un 3e élément qui relie.

Ainsi, l’amour peut être vu à la fois comme l’unité, celle qui rassemble, mais aussi comme le 3, la fameuse trinité dont nous parlent les religions.

D’ailleurs, re-li-gion vient du latin religerie qui vient de relier.

Et ce verbe relier, je l’ai utilisé 4 fois depuis le début de l’audio, en lui substituant parfois des synonyme comme assembler ou rassembler. 

Donc religion, à la base, signifiait le fait de se relier, se relier à quoi, eh bien au monde invisible et aux forces divines.

Donc oui, relier. Ce serait surtout ça, l’amour.

Lier. Faire du lien entre deux choses ou deux êtres et parfois même entre deux polarités que tout oppose.

C’est ça la puissance de l’amour. Ce lien invisible, cette colle qui ne se voit pas, et qui est pourtant si tangible.

D’où la force du symbole du dolmen qui rend visible cette 3e présence, le lien.

Il y a d’autres symboles qui rendent visible l’énergie d’amour et que l’on retrouve dans bien des mythes.

D’abord le fils ou l’enfant. Ce sont les enfants merveilleux que la Mère porte sur ses genoux et que l’on voit à travers Horus, fils d’Isis et Osiris ou bien sûr, Jésus. 

Car un enfant est l’amour rendu visible entre deux êtres. 

Il est le fruit de leur amour physique mais au-delà, de leur amour en sens large. 

Et c’est pourquoi, l’enfant intérieur loge dans la zone du coeur. Il est l’amour rendu visible. 

Et parfois, c’est tout le problème… certains fruit de l’amour ne devait pas être rendu visible. Ou on a le problème inverse, que le fruit ne vient pas comme si le divin ne permettait pas de montrer aux yeux de tous, la force de l’amour entre deux êtres.

Nous avons, comme souvent, ces deux extrêmes et qui parfois se mélangent. Ainsi une femme qui veut devenir mère et qui le devient et qui finit par négligé son enfant ou lui faire du mal.

Pour notre raison c’est incompréhensible ! Mais c’est parce qu’on oublie que l’enfant rend visible le lien d’amour invisible et il suffit que cet amour soit affligé pour que l’être s’en prenne à son symbole. 

Parfois, il ne faut pas chercher plus loin, certaines réactions des mères envers leurs enfants, qu’elles les aient désirés ou non, car l’enfant est un symbole énorme de fierté, de puissance, de sacré ou de honte et de culpabilité.

Et du mélange de tout cela. 

L’enfant intérieur a d’ailleurs été notre porte d’entrée pour aller explorer cette blessure d’âme. 

Symbole d’amour, c’est l’enfant qui va absorber tous les maux d’amour de ses parents comme il va absorber les langages d’amour des parents.

Ce sont les premiers à subir les séparations. 

Autre symbole qui d’ailleurs s’écrit de façon très proche, le fil.

Le fils, le fil.

Le fil, c’est ce qui permet de relier deux pièces de tissus ensemble ou encore de tisser, car pour tisser il faut 2 sortes de fils, les fils de trame verticaux et les fils horizontaux.

Fait intéressant à ce sujet, les grands-mères sages, c’est à dire les anciennes femmes, qui étaient encore des prêtresses de la Déesse en cachette, étaient appelées les tisseuses, car elles étaient les relieuses du matériel et su spirituel.

Le mot hérétique, à la base, signifiait tisseur ou tisseuse.

Il y a quelque chose d’ironique que la religion prédominante, qui cherche à aider l’autre à se relier, condamnent certains d’hérétiques et de tisseurs, donc de relieur.

On peut voir à quel point, à un moment de l’histoire, les religions se sont perdues de leur fondations mêmes.

Autre tradition, toujours autour du fil et que j’aime beaucoup à ce sujet, c’est la pratique des moines bouddhiques japonais qui veut que le futur moine, relie à la main, différentes pièces de tissus pour en faire son manteau, le kesa. C’est le processus du rakusu.

Et cela symbolise tout ce que nous faisons ici en réalité ! C’est à dire, voir que notre être a été morcelé et puis aller reprendre les fragments de nous-mêmes, pour les recoller.

Les moines suivent ce processus dans une certaine méditation où ils sont invités à voir qu’ils recollent leurs bouts d’âme, un peu comme en chamanisme avec le recouvrement d’âme !

La cause de la fragmentation, c’est la blessure initiale. Et la guérison, la réparation, c’est le processus de recoller les morceaux ou de les recoudre ensemble.

D’ailleurs, on reste au Japon avec la technique du Kintsugi qui est l’art de réparer avec de la colle doré, les céramiques. Et qui donne des objets plein de cicatrices dorées qui sont encore plus beau que l’original. Et vendu plus cher. 

Parfois même, des vendeurs cassent tout à fait exprès certaines céramiques dans le but de les vendre avec cette technique.

Là aussi j’en suis sûr, vous saurez apprécié toute la dimension symbolique du Kintsugi, que l’être réparé est encore plus beau que dans son innocence intacte du départ.

C’est d’ailleurs ce qu’appelle l’auteure culte du livre Femmes qui courent avec les loups, clarissa pinkola estes, elle appelle cela, le clan des cicatrices.

Dans les deux cas, n’oublions pas que le fil ou la colle est le symbole de l’amour.

Aujourd’hui, les cicatrices sont jugés particulièrement inesthétiques, surtout les vergetures.

Vu sous ce nouvel angle, j’espère que vous porterez désormais vos cicatrices avec une certaine fierté car ce sont des marques d’amour. 

Au niveau de notre peau, lorsqu’elle est coupée, elle est capable de se relier à nouveau. C’est de l’amour.

La guérison, c’est de l’amour et c’est pourquoi, la guérison physique et le système immunitaire se trouve ici, dans la zone du coeur, gouverné par le thymus.

Alors, oui, nous irons plus en profondeur dans cet audio sur chacune de ces thématiques, mais attardons-nous deux secondes sur tout ça, la mise en morceau par les blessures.

Le monde dans lequel nous vivons est très exigeant pour une âme qui doit vivre dans ses tréfonds bien des blessures mais qui dois toujours être relié à l’amour.

L’amour est le fondement, l’essence d’une âme.

Sans amour, l’âme ne survit pas. Elle ne le peut pas.

C’est pourquoi toutes les blessures ont une racine dans le coeur, dans la blessure du coeur, avant de se répandre dans les autres chakras.

D’abord le coeur se brise, et s’est une fois qu’il est blessé, que les autres blessures peuvent s’installer, ailleurs.

Ainsi, nous ne pouvons résoudre nos autres blessures si nous ne passons pas par le soin du coeur.

Pour guérir, le joyau de l’amour est absolument indispensable. C’est lui qui fournit la base de l’intégration, qui est : la colle d’amour.

C’est l’amour qui permet de recoller les morceaux fragmentés de ce que nous sommes. 

Et c’est pourquoi, l’humain a toujours eu besoin de la religion, de la reliance au même titre que l’amour physique. 

Parce que pour survivre, l’âme a besoin de se relier. 

De se relier aux autres, mais aussi à plus grand, au sacré. Parce que c’est un besoin, une nécessité pour lui permettre de se réparer. 

Et c’est pourquoi, aussi, nous mettons le siège de l’âme dans l’espace du coeur. 

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Alors oui, jusqu’ici nous avons pu voir que le coeur détenait beaucoup d’éléments, certains facile à voir comme l’amour et d’autres plus difficiles à appréhender comme l’enfant intérieur, l’âme et ses blessures, la capacité de guérison donc la santé, la trinité, l’unité… ça fait très énonciation-catalogue et pourtant, nous venons de le voir, tout est lié.

Ainsi, lorsque nous polissons notre blessure pour la transformer en joyau, oui, nous pouvons quitter la thématique de l’amour inconditionnel pour aller toucher toutes ses autres facettes. 

Nous pouvons partir à l’aventure de l’enfant intérieur, oui, c’est bien le coeur que nous soignons. Ou soudain, se passionner pour la trinité religieuse. Oui, c’est encore le coeur.

Ainsi, peu importe où votre voyage dans l’exploration de la blessure vous a mené, c’est juste.

Car le coeur est un espace grandiose et son joyau a de nombreuses facettes qui ont toutes besoin d’être polies tour à tour.

Dans la même optique, sachez que c’est aussi une blessure qui prendra plus de temps à se polir. Alors, soyez patient.

Dans ce chapitre, nous cherchons maintenant à entr’apercevoir à quoi ressemble un espace du coeur sans blessure, une fois que tout a été défragmenté.

Comme vous l’avez compris, il y a beaucoup de facettes à décrire, je vais faire de mon mieux pour tout compiler, ce qui ne pourra pas tenir dans cet audio, sera vu un peu plus tard.

Le chakra harmonisé 

Lorsque cet espace du coeur est guéri, les relations avec tous les autres sont en harmonie. 

Nous avons à la fois la capacité de donner et de recevoir.

Nous avons confiance en la vie, en son abondance et en sa justesse. 

Nous savons capter les intentions et les qualités des êtres qui nous font face, c’est une détection qui se fait immédiatement.

Libéré des blessures, le coeur est dit ouvert, innocent, frais et radieux. Rayonnant. Acceptant. Gracieux. Libre. Aéré, léger, simple et doux.

Ouvrir son coeur nécessite une transcendance de l’égo. Car pour pouvoir aimer, il faut retrouver l’innocence et dépasser les histoires mentales de l’égo sur une situation, donc dépasser les ressentiments, pour renouer avec l’émotion et le partage intime. Coeur à coeur.

Centre, paix intérieur et spiritualité

Le coeur est notre centre. L’oeil du cyclone où règne la paix face au chaos extérieur. Un centre de paix intérieure. 

C’est un sentiment de paix qui provient de l’absence de besoins, avec une acceptation enthousiaste de notre place dans le monde et la joie rayonnante qui naît de l’harmonie intérieure.

C’est parce qu’il est un espace d’union, qu’il donne un sentiment de complétude, de réalisation entre l’esprit et la matière. Du masculin et du féminin.

Ce sentiment de complétude là, est ce qui fait naitre le sentiment de paix intérieur.

Ainsi le coeur est le centre spirituel.

En tant que centre, il est aussi bien évidemment, le centre de l’amour. 

Nous nous aimons et nous aimons les autres en équilibre parfait. Et de ce point de vu, c’est aussi la zone d’équilibre ou plus justement d’équanimité.

En étant ancré dans le coeur-centre et équilibré, l’harmonie corps et conscience est créé et se traduit par un sentiment d’appartenance à l’humanité et un équilibre entre donner et recevoir.

Oui, parfois la poussée exaltante de l’amour peut nous faire perdre nos bases.

C’est encore une autre raison pour laquelle cette blessure apparait après l’enracinement et la mise en place du trône intérieur.

On pourrait se dire, que puisque le centre est celui de toutes les racines, nous aurions à parcourir notre blessure là avant toutes les autres, mais non.

Avant d’atteindre le centre, le saint des saints, nous devons obtenir d’abord un ancrage fort.

Comme nous l’avons vu, la religion vient de la racine « reliance », une zone d’interface entre le spirituel et le matériel. 

L’esprit qui souhaite entrer dans le corps passe par la respiration, comme le pense les hindous notamment.

Leurs technique de respiration appelé pranayama visent à purifier l’organisme et à accéder à un élargissement  de la zone du coeur.

C’est la connexion spirituelle, la grâce spirituelle.

La grâce, nous l’avons vu, est relié à la vitalité et à la santé.

On peut voir la grâce comme une danse entre une expression de l’impulsion de vie innocente dans le cors, c’est à dire, notre enfant intérieur ET une conscience élevée.

Donc un mariage entre inconscience et conscience dans le corps.

En entrant dans cette grâce, le coeur devient un centre capable de voir le sacré partout sur Terre. Ce sacré qui nous donne l’envie de soigner et protéger.

Souvent notre esprit est en guerre contre notre monde, qu’il voudrait différent. Plus beau. Avec plus de vitalité. Ou avec plus de cohérence dans ses besoins.

Lorsque notre centre coeur est équilibré, que le mariage entre le corps matériel des besoins et l’esprit a lieu, il apporte la complétude et la paix, comme je l’ai déjà dit, mais aussi, un nouveau point de vue sur notre monde et la matière.

D’ailleurs, le coeur, c’est le son de la vie.

Son rythme est la vie.

Les cellules du coeur résonnent toutes avec le rythme de la pulsation. Elles sont en résonance avec le rythme intérieur de notre organisme, du corps et donc de la matière.

Énergie d’intégration et de guérison

En restant dans l’énergie d’amour, nous baignons dans suffisamment d’amour pour qu’elle relie les morceaux de nous. 

L’énergie du coeur est l’énergie d’intégration. Pur.

Nous éloigner du coeur, rester dans l’égo, c’est nous éloigner de notre capacité à coller nos morceaux. Donc à guérir.

C’est pourquoi l’énergie du coeur est aussi une énergie de guérison.

Baigner dans une telle énergie est quelque chose qui s’entretient. En travaillant à rester dans les énergies d’amour et dans les vibrations du coeur. En suivant la Voie du Coeur.

Et en évitant de nourrir les pollutions négatives tels que les ressentiments.

Guérir signifie rendre complet. C’est un synonyme de complétude ou d’intégration.

Le chakra du coeur étant l’unificateur, c’est également un espace de guérison.

Des canaux d’énergie vont du coeur jusqu’au main. Ce sont les mains guérisseuses.

Les mains possèdent un grand nombre de récepteurs neuronaux et de chakras secondaire, ce qui en fait une zone de grandes sensibilités. Plus sensibles que les yeux et les oreilles ! 

L’envie d’aider les autres et de les guérir est naturellement issu d’une augmentation de la compassion du coeur.

Pas besoin de devenir un grand guérisseur ou un magnétiseur. Nous pouvons guérir simplement par un sourire, par une aide physique ou par de l’écoute empathique.

Un bon ancrage est nécessaire ainsi qu’un chakra du coeur bien équilibré afin qu’il irradie la joie et l’amour.

Petite parenthèse ici, pour vous dire que dans les chakras inférieurs, nous agissons selon notre instinct, nos impulsions.

Parfois, nous faisons des erreurs, ou en tout cas, c’est ce que nous dit notre environnement et nos éducateurs. Certains schémas se répètent et nous prenons conscience par apprentissages, qu’ils soient positifs ou négatifs.

Les conséquences de nos agissements se stockent sous forme de mémoire et de logiques, puis un jour, elles redescendent dans le corps pour influencer nos actions.

Nous perdons la grâce et tout l’intérêt du coeur comme centre, c’est de retrouver cet équilibre entre les bases, c’est à dire notre innocence impulsive et notre conscience. 

La grâce apparait donc comme un signe puissant de la guérison du coeur, qui se voit dans le mouvement du corps et sa vitalité, sa flexibilité, sa douceur. 

Un corps à la fois ancré et souple. Conscient et inconscient. En équilibre. 

L’harmonie du coeur apporte donc énormément au corps dans son énergie, sa santé et oui sa grâce qui est le reflet de la grâce spirituelle. 

 

Conscience, relation et équilibre

Biensûr, le chakra du coeur est avant tout, celui de l’amour et des liens, soit donc des relations.

Et finalement, on peut voir que tout dans le monde est relationnel.

On peut voir le monde comme la somme des relations entre soi et l’autre, entre soi et l’animal, entre soi et les objets.

Mais aussi les objets entre eux, les animaux entre eux. 

C’est là que l’on voit les autres interfaces qui constitue des systèmes, comme entre les arbres ou entre les champignons par exemple.

On décèle de la cohérence à tous les niveaux dans ce genre de système et synergies, c’est à dire des relations crées sur la base des nécessités de l’un et de l’autre.

Plus un système contient de relations, plus l’on peut être ébahit devant la beauté des systèmes et du monde comme le plus grand système possible dans la matière.

C’est ici, qu’on peut entrevoir la magie dans le banal, comme dans la pousse d’un brin d’herbe ou la présence du vent dans des branches.

Toutes ces manifestations sont le fruit d’une multitudes de relations et donc, oui, d’amour.

L’amour se trouve dans le réel et dans la nature.

Et nous y avons un accès libre. 

Cette beauté synergétique a de quoi nous ravir mais elle a aussi un autre intéret pour nous : comprendre que nous pouvons intégrer ce genre d’équilibre dans nos relations avec les autres.

C’est cet équilibre qu’il nous fait atteindre pour vivre des relations qui durent.

Car, elles ne s’arrêtent finalement, que quand la relation a perdu son équilibre et qu’il est impossible à retrouver. 

Un déséquilibre qui peut être entre donner et recevoir. Un équilibre qui peut aussi être celui entre l’amour de soi et de l’amour de l’autre. Et qui touche tous les domaines : la sexualité, les tâches ménagères, le pouvoir, la communication, … 

Ainsi, on voit qu’un équilibre intérieur permet d’obtenir l’équilibre dans nos relations et de l’ajuster au fil du temps pour les faire perdurer mais aussi pour les rendre plus saines et plus gracieuses. Plus belles.

Vivre en équilibre c’est vivre dans un état de grâce. De délicatesse et de gentillesse.

Cela nécessite une conscience de chaque instant. Une conscience du corps et de l’esprit. Ensemble.

L’amour apparait alors très différemment sous ce nouvel éclairage de conscience : il n’est plus « attachement » comme un lien forcé, mais bien un état d’harmonie intérieure.

C’est une force d’union mystérieuse qui irradie et attire en même temps.

Et le résultat de cette affinité c’est le lien.

Et en même temps, ce lien est paradoxal, car  il demande à la fois de l’intimité, de la proximité et de l’espace et de la liberté. Aéré face à l’asphyxie que peuvent être certains amours… qui sont plus de l’attachement, du contrôle, de la domination ou de l’emprise qu’un amour réel.

 

 

 

 

 

mmmmmmmmmmmmmmmmmmm

Nous cherchons tous l’amour et rares sont ceux qui pensent en avoir assez. 

Nous avons besoin d’amour et c’est la raison pour laquelle on reste proche ou loyaux à ceux auprès desquels on se sent en sécurité et apprécié. 

Nous pouvons être nous aussi, ceux chez qui l’autre se sent en sécurité en offrant l’énergie d’amour sous forme de compliments, d’empathie, de tendresse.

L’amour est aussi une énergie d’abondance. C’est une énergie illimités que l’on tend à voir rare. Une énergie qui s’alimente elle-même.

 

Perçoit le monde dans son unité plutôt que dans sa séparation.

Pour être en relation nous devons être capables de : sentir, communiquer, posséder notre autonomie, notre pouvoir, voir et comprendre, nous détendre et avoir confiance en la vie pour laisser les choses arriver. 

La compassion nous relie car nous comprenons que nous éprouvons tous les mêmes émotions, que nous affrontons les mêmes problèmes avons les mêmes espérances et vivons les mêmes peurs. 

Cela crée un lien profond qui unit les pertes au-delà de leur différence.

Être l’amour.

Car le chakra du coeur est de nature yin. Il tend à laisser les choses simplement être. Etre.

Et donc être l’amour, être dans l’extase d’amour.

Les trois coeurs nous permettent d’entrer en fusion avec le vent et la terre.

L’évolution de la planète terre est parsemée d’épreuves qui touchent au domaine de l’amour, au domaine de la reconnaissance de ce que nous sommes (notre essence), au respect profond de ce que nous sommes et au respect des autres.

Or la plupart des gens ne peuvent aimer de manière inconditionnelle. Ils évitent de rencontrer leur douleur. Et de rencontrer ce pourquoi il se sont incarnés.

Lorsque nous aimons, nous fusionnons avec notre divinité. L’énergie de l’amour nous élève. Nous purifie. Nous guérit. Nous défragmente. Nous intègre. Nous unit.

La puissance de l’amour n’est pas mesurable.

L’amour guérit.

Les humains incarnés ont peur de la douleur et d’utiliser la douleur pour s’élever, car pour cela, il faut commencer par la ressentir.

Incapable de côtoyer la maladie. La souffrance des autres non plus. On ne peut pas aimer l’autre sans reconnaitre sa douleur.

Incapable de ne pas nourrir le ressentiment.

Venir sur Terre, c’est faire le choix de rencontrer la douleur et de transcender les blessures. 

De voir que nous soufrons tous et comme Quan Yin nous l’a transmis, qu’aucune douleur n’est supérieur à celle d’un autre.

Nous avons le choix de guérir dans cette vie, ou de remettre notre guérison à notre prochaine incarnation.

Aimer s’est aidé les autres à s’élever dans la liberté : car si l’on vit sans attachement, nous n’avons pas besoin de nous nourrir de l’autre. L’inconditionnel suffit à nous nourrir. À remplir notre coupe d’amour et la faire déborder ensuite.

Nos n’avons pas à utiliser l’autre pour remplir notre coupe.

Le but, est de contacter notre souffrance dans l’énergie de l’amour et de la transcender et de lui redonner sa liberté. De se détacher de notre douleur.

Plus les coeurs karmiques est physiques s’harmonisent, plus ils se développent et poussent le coeur spirituel à évoluer pour faire évoluer le collectif.

Chaque guérison personnelle de cette blessure amène directement à une poussée évolutive de toute l’humanité.

L’espace du coeur est un lieu de transcendance lorsqu’il est nourrit d’amour inconditionnel. C’est à dire qu’il transforme le non amour en amour.

Pour cela, il faut ouvrir son coeur. Mais en l’ouvrant, on ressent beaucoup de souffrance. Sa souffrance personnelle avec les coeurs physiques et karmiques mais aussi collective, avec le coeur spirituel.

Ressentir plus de souffrance n’est ni bon, ni mauvais, comme nous la montrer Morgan, c’est quelque chose de neutre et naturel.

Et c’est nécessaire à la transcendance qui a lieu à travers toutes les multiples chambres du coeur.

L’ensemble des 3 coeurs forme la croix. 

Et le coeur spirituel, le 3e coeur, celui qui est en voie de développement sur Terre est relié à l’énergie christique. Et ici je parle bien d’énergie christique que Jésus a réussit à vivre pleinement, mais qui ne se limite à ce maitre.

Ce n’est pas une énergie à trouver à l’extérieur. À attendre, chez un éventuel sauveur. Mais à trouver dans la vibration d’amour.

Car cette énergie est tout autour de nous. Elle se vit, se reçoit en allant puiser dans le coeur.

C’est une nouvelle conscience. 

Mais comment faire, lorsque nous n’avons pas été élevé, comme Jésus, dans l’amour inconditionnel de sa mère ?

En commençant par comprendre que l’amour inconditionnel n’est pas conditionné, ne doit pas remplir certains normes ou conditions qu’applique l’égo.

C’est l’inverse de l’attachement. C’est accepter la possibilité de tout perdre. Que nous ne possédons rien en réalité. Que d’une seconde à l’autre nous pouvons perdre la vie et entamer la grande transition. Ou qu’un énième test se présentera à nous.

Le joyau se trouve dans un espace coeur purifié. Dans le maintien d’un coeur joyeux et élevé : celui d’un enfant.

Si nous reconnaissons que nos émotions sont pures, qu’elles sont la vie, la vie dans sa simplicité, dans sa pureté, dans sa divinité, alors les émotions s’élève des chakras inférieurs vers le coeur pour les purifier.

Puis elles vont encore monté vers le 3e oeil, pour créer et enrichir une nouvelle conscience.

 

 

 

Du détachement humain à la transcendance divine, de l’enfant intérieur retrouvé dans toute son innocence, à la passion de l’amoureuse… mais aussi, l’ouverture, la réceptivité, l’accueil, la compassion, la fusion, la reconnaissance… ils ont tous comme point commun, pour moi, cette énergie qui siège dans le coeur qui est la joie pure et la vie. 

 

La Mère intérieure positive et la trinité

une Mère intérieure qui passe du statu de Manager au statu de Self p149 ISF.

Le self peut être vu comme dans l’union de l’essence trinitaire : le père intérieur guérir, la mère intérieure guérit et l’enfant intérieur guérit.

Le sefl c’est la Mandorle parfait et non abîmée qui donne sa juste place à l’individu.

La trinité du coeur :

  • la mandorle dans laquelle pousse l’enfant arbre
  • père mère enfant
  • dieu le père, le fils et le st esprit
  • la triple flamme sacrée
  • les 3 coeurs : physique, karmique et spirituel

L’inverse de la peur, c’est la liberté : libérer le coeur ! 

 

 

Détester le rose/

On renie notre sexualité, notre sensualité et notre romantisme pour s’intégrer dans la société. Pour plaire à nos parents. 

La pousse de mes seins par exemple, j’en voulais à mon corps. Je ne pouvais l’en empêcher mais j’avais peur que ça me fasse perdre tous les efforts que j’avais mis à obtenir l’amour de mes parents. Et la peur d’attirer les abus. Ma sensualité semblait éloigner l’amour de moi = totalement dans le déni de la puissance et du pouvoir du womb.

Il y a un lien très impressionnant entre notre amour et notre corps, notre sexualité que l’on nous fait perdre dans la société actuelle, où il serait bon pour nous de faire l’amour avec beaucoup de personnes sans amour (sans attachement, mais c’est confondre les deux !) Cela serait la liberté. Alors que non. Le sexe déclenche la libération de l’hormone de l’attachement.

La liberté réelle, c’est celle d’aimer. Être libre d’aimer. De libérer le coeur de sa prison.

Pour cela, nous devons nous sentir en sécurité, dans le respect et dans l’amour inconditionnel, prête à montrer à l’autre toutes ses imperfections. C’est ça la liberté, celle de se montrer vulnérable.

Alors le coeur est libre et la sexualité est joyeuse, expérimentale, merveilleuse et curieuse.

La sexualité est naturellement proche de la sécurité et du pouvoir (situé entre les chakras 1 et 3) et il est difficile de nos jours de reliés sexualité et coeur, alors que c’est là que se situe la libération.

Il est intéressant de noter que la légende d’Aphrodite l’a fait naître déjà adulte, des eaux.

Sans traumas. Son rapport à son corps est totalement pur. SA relation, pure. 

Elle s’y sent naturellement en sécurité. À la maison.

Ses amours sont vécus pleinement. Ils ne sont jamais des attachements traumatiques. Ce sont des amours purs, sans attente, sans sauveurs. Des amours libres qui dévoile sa souveraineté qui est la foi, la souveraineté de son coeur, qu’elle donne à qui elle veut (Zeus choisit son mari qu’elle trompera) et la souveraineté de sa sexualité. Elle n’est jamais impuissante. Sa sexualité est puissante.

L’intégration est un processus qui se déroule en se reconnectant au corps. Ce qui a deux conséquences : l’intégration nous montre que notre relation au corps est traumatisé et qu’un nouveau regard et une nouvelle relation basée sur l’amour, la liberté, le soin et la confiance. 

Remettre de la conscience dans le corps. De la présence. Se reconnecter à ses besoins et à ses désirs…

C’est ce que devrais apprendre une Mère à son enfant. Le respect de son corps et de ses intuitions (gut feelings). 

D’être entendu. Et dans les moments difficiles, d’avoir le courage de témoigner et de demander de l’aide. 

Reliance mais pas attachement

Le coeur, c’est surtout la reliance, les relations, les connexions (l’amour sous toutes ses formes) Donc forcément, dans le coeur, il y a volonté de reliance : le coeur avec l’utérus, l’utérus avec l’utérunivers, le coeur avec le coeur cosmique… ce sont les reliances ultimes, tout autant que de coeur à coeur, notamment avec son âme soeur et son jumeau. 

C’est un lien de coeur à coeur et pas d’égo à égo, qui s’appelle plus communément l’attachement. 

L’amour sans l’attachement, à quoi ça ressemble ?

Le romantisme n’est pas mort. 

Le romantisme du réel (pas la romantisme illusoire)

Un grand enseignement de la Déesse Inanna-Ishtar Venus que nous approfondirons. 

Retrouver sa valeur / Mandorle / place / son trône fondamentale

Oser tout ressentir

Revient ici, face à la victimisation. 

La victime résiste à l’inconfort. Cet inconfort est aperçu comme quelque chose de subi qui enlève encore d’avantage à notre pouvoir. Comme si on nous entait encore un truc injuste de plus à ce propos sur lequel on est impuissant. Alors qu’on veut justement reprendre le contrôle.

Renier notre émotion inconfortable, c’est comme prendre enfin le contrôle.

Mais ce n’est qu’une illusion. Un mauvais endroit pour reprendre le contrôle, qui est plus confortable malgré tout que de le mettre dans les limites que l’on fixe. 

Donc, un inconfort extérieur nous semble nous rendre impuissant d’avantage.

Alors que oui, le but de cet inconfort, de ce miroir, c’est bien de nous permettre d’intégrer et d’absoudre plus de karma.

La réunion totale de toutes les facettes de ce que l’on est. Amour est la colle.

L’authenticité

C’est aussi de ne plus se sentir responsable du désamour des autres.

Comme nous ne sommes pas responsables des succès et des résultats des processus dans lesquels on se lance. Nous ne sommes que responsables de nous montrer sur place jour après jour. De faire le travail.

Les fruits obtenus ne sont pas de notre responsabilité.

Ainsi, nous ne sommes pas responsables des émotions des autres. Nous savons que les émotions dépendent des traumas d’enfance. Nous ne les avons pas créés chez les autres. Nous n’avons pas à marcher sur des oeufs ou à nous faire tout petit pour leur plaire, car ils nous trouvent trop ou pas assez.

Se montrer gentille quand on n’est pas dans ce mood, quand c’est forcé… ce n’est pas être authentique et vulnérable. C’est afficher un masque et donc manipuler l’autre.

On a non seulement le droit d’éprouver des émotions et de ressentir les émotions négatives mais aussi de les exprimer (tant que cela ne porte pas atteinte à l’autre : ne nous transformons pas en abuseur. Si nous avons besoin de taper, il y a des coussins !)

Nous avons le droit de ne pas sourire de la journée si nous n’en avons pas envie.

Nous avons le droit d’être triste et de pleurer dans les transports ou les magasins.

Guérir la blessure du coeur ne signifie pas que nous serons constamment dans le bonheur, la joie et l’amour. Cela veut dire que nous seront vulnérables, sans masques et donc capables de vivre nos émotions. 

Que nous serons des être humains réels. Dotés d’émotions.

Donner inconditionnellement, c’est recevoir

Une façon de savoir si on a commencé à intégrer notre définition inconsciente de l’amour, est que nous ne cherchons plus l’amour à l’extérieur. 

Nous laissons la vie nous l’offrir.

Nous laissons notre coeur nous suffire.

Tant que nous n’avons pas intégré notre définition inconsciente de l’amour, nous ne pouvons pas faire la différence entre un besoin, un désir, et ce que la vie nous offre à expérimenter.

Nous cherchons à manipuler ce qui nous arrive dans l’espoir de recréer notre empreinte primordiale. Nous ne nous intéressons qu’à nos désirs. 

Et nous avons l’impression que la vie interfère sans cesse avec eux.

Nous ne pouvons pas accéder au sentiment de gratitude.

Puis un jour, nous voyons au grand jour nos tentatives. Celles de notre enfant intérieur.

Et puis un jour, nous voyons nos besoins. Et nous comprenons qu’ils sont la nourriture essentielle de notre corps.

Et puis un jour, nous voyons les évènements de la vie sans nous y attacher et comprenons que c’est la nourriture dont notre âme à besoin.

Un jour, nous sentons que notre enfant intérieur n’a plus besoin de manipuler notre réalité. Au contraire, nous choisissons d’être avec ce qui est, sans condition.

Nous découvrons que donner inconditionnellement, c’est aussi recevoir.

p. 229 de Michael Brown

 

 

Plonger en extase d’amour et l’inviter en commençant par le donner.

 

Le coeur sacré

Le self peut être vu comme dans l’union de l’essence trinitaire : le père intérieur guérir, la mère intérieure guérit et l’enfant intérieur guérit.

 


Tous les maitres ont reçu l’initiation du coeur sacré.

Cette initiation nous apprend à ouvrir le coeur pour prendre la douleur. La douleur de la Terre.

 

Comme j’ai eu l’occasion de l’évoquer déjà dans la partie des symptômes de la blessure, notre espace du coeur est en fait formé de 3 chakras coeur.

Ces 3 coeurs se situent sur une même ligne horizontale avec au centre le thymus.

Le thymus est aussi au centre de l’alignement des chakra de la racine à la couronne.

Ces 2 lignes forment une croix intérieure qui unit le céleste au terrestre dans un l’amour inconditionnel.

Le joyau nous aide à nous maintenir dans l’horizontalité de notre croix intérieure (la compassion) et dans la verticalité (alignement et enracinement).

Nous nous ancrons dans la douleur pour la recevoir dans le corps et la ressentir pleinement.

Puis nous la transcendons dans les espaces du coeur.

Avant de la faire monter dans notre conscience afin d’enregistrer cette nouvelle données expérientielle.

Quand à l’horizontalité, les coeurs physiques, karmiques et spirituels créent notre capacité de partager l’amour sur terre.

Nous sommes sur terre pour faire l’expérience de la verticalité et de l’horizontalité. Le chakra du coeur aura atteint sa pleine maturité lorsque la verticalité et l’horizontalité auront fusionnées, permettant à l’âme de vivre totalement son identité, ce que pourquoi elle est venue sur Terre.

 

 


Triple feu du coeur : pour la transcendance

Le coeur est rempli de la flamme divine qui consume toute douleur qu’il rencontre afin de la transcender. Sa douleur personnelle d’abord puis celle du collectif.

La transcendance est une digestion automatique, une purification qui se fait dans le coeur lorsque celui a dépassé sa blessure émotionnelle et qu’il est capable de pardonner et de se détacher. Bref, quand il est dans l’amour inconditionnel.

La triple flamme du coeur christique

Le coeur physique = la flamme rouge/rose (traumas de cette incarnation en cohésion avec le coeur karmique)

Le coeur karmique = la flamme or/blanche (douleurs d’âme et de vies antérieures)

Le coeur spirituel = la flamme bleue turquoise (douleurs du collectif humain, paix, christ)

Pour s’ouvrir à la cohérence du coeur et à la conscience du coeur. Ensemble ils forment l’étoile coeur, radiant = le Soi supérieur vivant.

Rose = amour. Unir matière et spiritualité. L’amour en action.

Or = sagesse. La bénédiction des anciens. Le soi véritable. Sagesse n’est pas la connaissance. Sagesse intérieure.

Bleu = pouvoir. Humble mais pas faible. Puissance intérieure.

Flammes dans le chalice.

Équilibrer les 3 flammes = retour à Soi sacré = active JE SUIS = la voie du maitre intérieur.

 


Le diamant du coeur.

 

 

Sceau de Salomon, c’est aussi l’étoile de David qui représente le Mariage Sacré, l’interpénétration équilibré du masculin et du féminin.

Les 6 pointes de l’étoile n’est rien d’autre finalement que la rencontre des 3 chakras du coeur du féminin et du masculin. Des di-amants intérieurs qui s’unissent comme les amants.

Un homme et une femme, dans l’amour, que nous parlions ici de biologie ou non.

L’amour fait se coller les 3 coeurs ensemble de chacun pour former, le temps d’une union physique, le 6, le sceau de Salomon.

C’est l’union sacrée dans sa plus pure définition.

La mise en intimité des 6 coeurs de 2 êtres.

Les sidhe aussi parlent de réunion : sang blanc et sang rouge donne le rose. Qui est l’une  des 3 couleurs du chakra coeur.

La Pomme d’Avalon pourrait-elle être le joyau ?

Avalon, île des pommes, Terre de guérison, refuge après Atlantide des sirènes et autres atlantéens (ceux qui n’avaient pas ascensionnés ou ceux qui l’avaient fait, voir les 2 ???)

Corbeau de Morgan = connexion avec l’autre Monde, celui des Sidhe ?

La Dame du Lac et la Mandorle 

—-> on trouve aussi l’information que c’est la Dame du Lac qui aide à prendre sa place : sa relation avec les eaux, donc les émotions et le coeur.

La Dame du Lac est la Gardienne du portail entre les mondes : c’est Elle qui décide de dissiper OU NON, la brume pour entrer en Avalon.

Car elles agissent sur les eaux = des sirènes ! Et la Dame du Lac est la Reine des Sirènes.

Ce sont les prêtresses qui sont les gardiennes du Graal, ou les initiatrices du Graal (dans ce cas, appartiennent à la lignée d’Inanna = lien entre Vénus et le Graal).

Que ce soient symboliquement ou réellement (rituels des eaux les relient dans ce cas à la lignée des prêtresses lunaires, lien entre la Lune et la Roue = la Table Ronde = les 13 enseignements initiatiques qui permettent ensuite d’aller vers le Graal).

Symboliquement, elles agissent sur les émotions, pour accepter toutes les émotions comme on accepte toutes les eaux : celles des lacs des glaciers purs émeraudes, aussi bien que les eaux qui stagnent.

Lorsque Morgan nous dit de nous reconnecter à la Réalité, c’est pour activer notre coeur, notre joyau de reliance et donc notre Mandorle. C’est pour nous aider à retrouver notre place, car notre place se trouve dans la réalité, pas dans l’illusion. C’est pourquoi nous nous sentons tellement perdus au quotidien, pour enfin se sentir à la maison, en vacances ou lors de randonnées en forêt. Ou dans les sites sacrés !

Ce sont des portails d’accès vers la Maison

La Source St O, m’a emmené sur le lien entre le coeur et la Mère et son enfant.

Les colleuses. Les tisseuses. Les relieuses sont les amoureuses. Celle qui encouragent la vulnérabilité et l’authenticité.Celles qui protègent les enfants et expriment leur essence, comme un enfant intérieur pur.

Pur, mais pas forcément gentil. Pur, c’est être sauvage. Brute. Parfaite dans ses imperfections.

La Jarre d’Alabaster (Inanna, Ashérah, MM ?)

Ou peut aussi être la Jarre : la voit chez Inanna, chez MM et aussi chez Quan Yin = forme de Mandorle ? = OU nous dit que le sacré se trouve dans les parfums ?

On assimile souvent la Jarre au pouvoir de l’utérus (donc chakra saré) et au Graal. Mais pourrait-il être associé au coeur OU aux deux (sacré ET coeur en UNION ?)

Rouge et blanc : tous les symbolismes

Les 2 faces du féminin : le magnétisme sexuel Rouge (ou Noir) d’Inanna-Vénus (MM, feu, trône) et l’amour maternel Blanc (lys, eau, Marie la Blanche, la couronne = la lune et la Roue ?) Ce sont les deux magies : la magie rouge (sexe, amour, naissance, onction ? pouvoir du womb et de sa sexualité, reliance womb femme et wombiverse) et la magie blanche (mer, eau, émotion, lac, onction, mère/enfant, innocence).

—-> pour Marie Madeleine, il y a aussi la Magie Verte (verte argenté, celle d’Artemis, protectrice des enfants… mais aussi femme sauvage !) Vert pour la femme sauvage vivant sous les feuillages, parmi les fleurs et les herbes. Le pays des fae. Accédant au royaume invisible d’Avalon. Une essence pure car non polluée. Untamed. Non corrompue. Dansante. Provenant de la forêt primordiale et dangereuse.

Les 2 races fay et humains. Glastonbury. Ici il y a carrément un puit des eaux Rouges (avec le signe de la Mandorle = les humains = doivent retrouver leur place dans ce monde, ancré dans la réalité, loin des illusions de la société) et une source blanche = elfique ?

Les 2 laits féminins : le sang des menstruations et le lait maternel (ou les sécrétion vaginales)

B55 Aura Soma : Le Rouge est l’incarné, le réel et le blanc l’énergie stellaire, l’âme (la sécurité de l’âme dans le sens je peux montrer mon âme en toute sécurité)

Le rouge, c’est parfois l’opposé : la couleur de l’âme. Du sang (symbole de l’esprit). Et de l’intégration. Car c’est la chambre nuptiale où a lieu la conjugaison et la fusion des polarités opposées. C’est pourquoi le rouge de la lignée d’Inanna, l’amoureuse et l’amante, est l’intégration des opposés. Tout est lié, dans son travail d’amour.

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