Activations dans le bois

À l’entrée du bois, je demande l’autorisation d’entrer à l’Esprit de la forêt.

C’est bon. Ouf !

Très rapidement, nous sommes conduits devant un gnome (une gnommette pour être plus spécifique…) qui se trouve sur le bord du chemin. Comme si elle nous attendait.

Et finalement, cela ne m’étonne pas.

Avant de partir, quand nous nous sommes décidés randonner, j’ai eu l’intuition d’emporter un quartz lémurien. Je savais donc qu’il se passerait quelque chose de spécial.

J’ajoutais à mon petit paquetage mes baguettes de sourciers (pour me guider) et mon oracle fait maison sur la thématique des 13 Mères Originelles.

 

 

Petit oracle pour mon usage personnel, afin de mieux intégrer au quotidien toutes les sagesses des 13 Mères.

 

 

La gnome, nous emmène dans la forêt sur une centaine de mètres.

Elle nous arrête au bord du chemin, vers l’ouest, devant une multitude d’épicéas. Et m’indique un point précis où déposer le quartz.

Je n’ai même pas le temps de poser d’autres questions pour savoir quoi faire ensuite, que WOUF! je ressens une grosse montée vibratoire du lieu.

Je l’accompagne d’un chant intuitif discret.

L’instant s’étire. Magique.

Je reprends les baguettes. Elles m’aident à activer sur place 2 vortex (un tellurique et un cosmique) et pour finir, à sceller le travail énergétique accompli.

 

 

Quartz lémurien en action !

 

 

Il est temps de réfléchir sur ce qu’il s’est passé (et de remercier tous les esprit présents).

Pour cela, je tire une carte.

C’est le discernement qui sort !

C’est une thématique en lien avec la Mère de Mars, Celle qui pèse la Vérité.

Il est question de voir que tout n’est pas tout blanc ou tout noir. Qu’il nous faut prendre le temps d’analyser et enquêter pour découvrir toutes les subtilités de la Vérité.

La rapidité et la dualité, nous fait prendre des raccourcis infantilisants.

Alors que nous sommes tout à fait capables de saisir toutes les nuances d’un concept.

 

 

Un point d’activation très précis.

 

 

L’aventure continue, même si je laisse là, la gnommette (elle finira par me donner son nom et je la remercie de sa confiance !)

Le reste, sera pour mon bénéfice.

J’avance en sentant que le lieu est différent. Plus lumineux.

Il respire et est vivant.

Ça fait plaisir de sentir l’impact immédiat de ces premières activations.

J’arrive sur un autre vortex qui me fait entrer profondément dans la signification de la carte tirée.

Pour s’approcher de toute la Vérité d’un évènement ou d’un conflit, encore faut-il laver notre mental de nos préjugés, filtres et autres croyances !

Ah…. ces fameuses croyances limitantes !

Je sens que j’en ai tellement marre, que j’ai l’impression que je ne pourrais pas vivre 1 journée de plus ainsi. Je veux me libérer totalement et retrouver ce que je suis au fond. Ce que je perçois déjà, mais qui n’a pas encore toute la place pour s’installer.

Je rejette tout en bloc. Fatiguée.

 

 

Un lieu plus dynamisé, lumineux et pimpant ! Grouillant de vie invisible.

 

 

Un autre vortex se trouve à quelques mètres de là, sur une grande pierre, dans une zone touchée par le soleil.

Je déclare que je veux laver mon mental de toutes ces croyances qui m’ont construites mais m’ont aussi cassé et je sens les énergies brasser mes chakras supérieurs.

Un autre vortex plus loin encore, me placera devant un épicéa remarquable.

Il me montre que les croyances créent un véritable plafond de verre à notre expansion. Arrive un moment, où nous ne pouvons plus grandir ou monter.

Un dernier vortex avant de rejoindre le chemin officiel… et là, les baguettes me font m’enlacer.

C’est un moment très émouvant.

Très doux.

Ces croyances, nous nous les sommes infligées. Nous nous sommes fait du mal à cause d’elles. Nous nous sommes éloignées de nous.

Victimes de nos propres égo…

 

 

Toute la semaine d’avant a été employée à la plastification de cette cinquantaine de cartes… waterproof, elles pourront m’accompagner partout !

 

 

J’intègre en moi, que le processus de guérison, de retour à la maison, de labyrinthe (ou peu importe le nom que l’on lui donne) n’est pas une lutte contre.

Oui, on peut être en colère contre notre éducation et le fait d’avoir été nourris de croyances qui se sont tatouées en nous et nous on fait croire qu’elles étaient nôtre.

Une personnalité propre, montée de toute pièce par notre environnement, et qui se faisait passer pour toute notre identité jusque là.

Mais là aussi, il est question de douceur.

C’est notre histoire et tout n’est pas tout blanc ou tout noir.

Rejeter nos croyances c’est lutter contre elles. Alors qu’elles sont à intégrer, elles aussi.

À digérer pour s’en libérer.

Je range mes baguettes car la radonnée passe par un petit village sur quelques kilomètres. Elles seront ressorties très vite, devant un autre arbre remarquable et d’autres activations.

Mais ça, ce sera pour un prochain post 🙂