Dans « la quête initiatique de l’héroîne » mon propos était de montrer que bien que nous soyons toutes différentes, il semblerait que la plupart des jalons-clef de notre individuation féminine soient universels.
Bien entendu, il existe des embûches à ce schéma idéal ! Les contes sont là pour nous les faire découvrir (comme le conte d’Andersen les souliers rouges par exemple).
Mais alors, sommes-nous véritablement libres de vivre nos vies, ou sommes-nous coincées dans une destinée ou les étapes de notre réalisation seraient déjà écrites ? Si ces sortes de passages ou jalons pourraient nous faire penser que nous sommes toutes condamnées à passer par le même type d’épreuves dans la vie, il n’en est rien. Les jalons se mêlent, apparaissent dans un ordre différents, réapparaissent alors que nous les croyons passés pour de bons… la vie et l’univers regorgent de richesse de situations et savent toujours nous étonner.
De plus, nous sommes dotés de notre libre arbitre, ce qui signifie que nous sommes toujours libres de choisir de démarrer ou non notre quête (mais si vous lisez ces lignes, il n’est pas très audacieux de ma part d’en arriver à la conclusion que votre quête est déjà activée !), voir même de la mettre en pause.
Mais le fait est que notre évolution semble tendre vers un idéal.
Peu à peu, au fil de mes recherches, j’en ai conclu que l’archétype du Soi était celui extrêmement lié à celui de la femme sauvage.
Alors que nous sommes en voyage pour ce qui fait que nous sommes différent de l’autre, allons nous toutes finir en femmes sauvages, rôdant dans notre maison comme nous le ferions dans les bois ?
Et bien non ! La femme sauvage détient bien la clef qui nous permet d’équilibrer nos forces conscientes, mais il reste toute une palette d’archétypes qui nous composent.
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La Sauvage, classe en ligne
J’approfondis notre relation entre le féminin sauvage, la créativité et le féminin d’aujourd’hui dans ma dernière classe en ligne : LA SAUVAGE !
C’est LA classe que je rêvais de créer. Elle germe en moi depuis des années et je suis heureuse de pouvoir, enfin, lui donner vie. Au programme : créativités intuitives, voyage chamanique (interprétée pour nous, occidentaux) et beaucoup de féminité. Après tout, la Déesse Sauvage est à l’origine du nom même de SheArtsWild ! C’est dire combien elle compte pour moi !
Sauvagement vôtre,
Fanny 😉
